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Destination choisie "France"

83,08km * 5:03:02 * 16,44km/h * D+ 1040m

A nouveau grosse pluie toute la nuit, ca ne se calme pas au réveil et je n’ai même pas droit à l’accalmie de la veille pour aller chercher les croissants! J’y vais quand même, mais ce coup-ci on ne déjeune plus sur la place mais dans la tente… La pluie finit tout de même par s’arrêter et nous pouvons partir à sec.

On se dirige vers le bout du lac Saint-Point, et continuons vers le lac de Remoray. Entre les deux, un paysage de marécage et de tourbière, magnifique sous le ciel menaçant. Les paysages sont très beaux. Après Rondefontaine, on bifurque pour un A/R jusqu’à la source du Doubs. L’eau jaillit comme par magie de la roche avec une force terrifiante! Probablement gonflé par les pluies de la nuit et du matin, le débit est impressionnant. Mieux vaut ne pas tomber dans l’eau!

Jolis paysages dans la brume sous le ciel menaçant

Très chouette descente vers Saint Laurent-en-Gravaux sur une route sillonante à souhait et offrant de jolis paysages à chaques tournants.
Entre Saint Laurent-en-Gravaux et Morbiez on traverse la belle forêt de Saint-Laurent et ensuite celle de Morbiez. Le profil en montagne russe est exigeant, mais ce passage restera pour ma part comme un des plus beaux moment de ces vacances.

Descente vers Morbier puis Morez sur des dénivelés impressionnants entourés de ponts de chemins de fer. On se serait bien arrêtés dans les villes pour photographier plus à l’aise les maisons qui, malgré qu’elles soient dans l’ensemble en mauvais état, faisait un ensemble très agréable. Mais il est 16h et c’est la sortie de l’école et la circulation est tout simplement horrible. Nous quittons donc Morez au plus vite et commençons la longue montée vers Longchaumois que nous montons à belle allure. Arrivée au camping vers 16h30, chez l’habitant. La pelouse et magnifique et le camping quasiment vide. La douche fait du bien après toutes ces montées même si finalement nous n’avons pas eu de pluie.

Plus tard dans la soirée, nous nous remettons en selle pour aller manger à la Mouille, à l’auberge des forgerons. Nous passons une sympathique soirée et mangeons très bien avec une fois de plus un rapport qualité/prix fantastique.

34,84km * 2:21:51 * 14,74km/h * D+ 1040m

Il a plu toute la nuit et ca semble être bien parti pour continuer aujourd’hui. On traîne sous la tente puis je me décide à me lever pour aller chercher des croissants au petit magasin du camping en profitant d’une accalmie.

La météo annoncée n’est pas bonne ca ne risque pas de s’améliorer. En revenant je vois notre voisin cyclo-touriste qui termine d’emballer ses affaires, je lui souhaite bonne route malgré la pluie. Il n’a « que » 52km à faire et garde le sourire.

On se décide à tout de même suivre ce qu’on avait prévu pour aujourd’hui, à savoir faire l’ascension du Mont d’Or.
Je m’habille avec moulte couches imperméables je risque de ne pas supporter ça très longtemps!
Depuis le centre de Malbuisson, on emprunte la route vers le fort Saint Antoine. La pluie est modérée. Après une déjà solide montée on redescend vers le pied du Mont d’Or. Sur le plat, on essuie une grosse averse qui nous trempe completement.

La montée commence directement sur des forts pourcentages. Il y a peu de passages plus plats au court de la montée.

J’avais été avertie par le gars du camping, une fois l’auberge et le parking passé, la côte est tout simplement énorme; ça ocille entre 17 et 18%. Tout simplement monstrueux. Mais lui qui ne me voyait pas arriver en haut, hé ben on l’a fait! J’arrive essoufflée, mais vivante 🙂

Tout ca pour une visibilité absolument nulle! On ne voit pas à 30 mètres. Enfin on s’en doutait un peu vu la météo! On ne s’attarde donc pas en haut car le vent est vraiment glacial et souffle sur nos vêtements mouillés. On redescend dans la foulée, direct au camping via Labergement.

Le magnifique panorama annoncé dans mon guide n’est pas au rendez-vous!

Après midi relax, on se balade dans Malbuisson à la recherche de la piscine, qui n’ouvre que 2 jours par semaine et pas aujourd’hui (dixit l’office du tourisme) et qu’on ne trouvera jamais!
Petit tour au Huit à 8 et dîner au resto le Lac où l’on mange un menu du terroir. Fin de soirée au salon pour boire un petit digestif; vin jaune pour le capitaine et liqueur de sapin pour la stockeuse!

62,66km * 3:27:35 * 18,11km/h * D+ 790m

Après un bon petit déjeuner à l’hôtel et avoir admiré la brume au loin sur le paysage, nous récupérons notre attelage dans le grand parking un peu austère de l’hotel.

La vue depuis l’hotel est splendide!

Et nous voila reparti. Nous commençons pas des petites routes dans la plaine de Morteau. Il fait beau et le paysage est très agréable. Sans balisage ce n’est pas évident de voir quel chemin nous devons prendre et nous nous emmelons un peu les roues 🙂 sans grande conséquence, nous retombons sur notre route un peu plus loin.

Après la plaine, un peu de montée. Comparé à ce qu’on a monté hier à la corniche de Goumois, rien de bien terrible! La météo est parfaite, il fait beau mais pas trop chaud ce qui nous permet de monter sans trop de peine.

Les routes sont sympas; peu de trafic, d’agréables paysages. Nous pic-niquons sur la voie verte qui nous amènera vers Pontarlier. La vue est superbe et il fait très chaud. La traversée de Pontarlier est un peu difficile, on ne sait pas à priori où on doit aller et le trafic est dense. On parvient finalement à trouver la départementale que nous devons suivre. Heureusement que celle-ci a une piste cyclable car le trafic y est énorme.

On avance sous le soleil sur des routes super chouettes!

La piste cyclable est roulante et nous voila bientot en vue du lac de saint-point. Il fait tellement chaud que je rêve déjà de la piscine du camping! Le lac est magnifique avec cette météo estivale! Nous contournons le lac par la gauche et arrivons à Malbuisson milieu d’après-midi. Le camping est situé 1km après le village. Nous arrivons devant l’entrée du camping en même temps qu’un autre cyclotouriste. En discutant après avec lui, il nous raconte qu’il vient d’Australie et compte faire 3 massifs français, à savoir le Jura, les Alpes et les Pyrenées! Il est en route pour 3 mois le veinard!

Le point de vue sur le lac de saint-point depuis la route.

Nous nous installons sur un emplacement avec vue sur le lac et je vais tremper les pieds dans le lac car la piscine est fermée… 3 jours plus tôt il faisait 5° le matin! Ca doit à peu près être la température de l’eau également!

Nous profitons de la vue et nous rendons jusqu’à Malbuisson par le sentier du lac, très sympathique même si infestés de moustiques! Malbuisson ne propose pas beaucoup d’attractions et nous avons vite fait de faire le tour et d’apprendre par coeur les cartes des 3 restaurants ouverts ce soir! Nous nous décidons pour le restaurant du fromage après un catastrophique verre (une bière du Jura chère et pas bonne, mal servie avec une assiette de fromage tout aussi mal servie) au bar de l’hotel du lac.

Le restaurant du fromage est correct parait bien pâle comparée à notre expérience de la veille! Un fou-rire incontrolé du capitaine mettra un peu de piment dans la soirée 😉 Retour au camping par le même sentier du lac.

59,66km * 4:36:19 * 12,95km/h * D+ 1200m

Nous ouvrons les yeux dans notre petite tente igloo après une nuit plutôt pluvieuse, mais à présent la météo à l’air plus clémente. J’aperçois même un bout de ciel bleu par la petite fenêtre! Si il pouvait faire beau pour notre ascension de la corniche de Goumois, ce serait bien!

Douche, petit dej porridge au camping, le temps de replier notre matos et voila qu’il fait splendide et torride; mon thermomètre – placé en plein soleil – annonce 35°!

Nous nous mettons en route tout guillerets pour attaquer cette belle ascension qui nous attend! Il nous faut donc remonter tout ce qu’on a descendu la veille depuis l’église de Goumois, qui est située très en hauteur par rapport au village.

Ca monte mais la côte n’est pas trop dure. On se retrouve rapidement à l’église, d’où on a déjà une très belle vue. Nous quittons à présent la route que nous connaissons pour partir de l’autre côté. Après quelques kilomètres de montée, nous voici déjà à la portion de route que nous voyions depuis le village et qui offre une vue plongeante et superbe sur Goumois et toute la vallée.

L’impressionante vue depuis la corniche de Goumois

On se fait doubler par des vélos de course et dans un sens on les envie grandement! Ils ont l’air d’avoir si facile! Nous, avec notre tank et notre remorque c’est autre chose 🙂
On mange au col de la vierge sur un « banc avec vue » au soleil! Saucisson d’âne, compté et pain acheté à Goumois. Quel régal.

On enchaine avec la plus forte côte de la journée vers « La montée ». Ca porte bien son nom rien à dire. Mon altimètre m’annonce des passages à 17% et on tourne dans les 14 en moyenne. Ceci est à nouveau une variante de la GTJ, mais cette côté vaut la peine d’être montée car les paysages traversés ensuite sont magnifiques!

On redescend ensuite vers Charquemont. Plus loin nous prenons à nouveau la variante qui nous permet de voir le barrage du Chatelot. Nous avons hésité un peu avant d’y aller car cela réprésentait descendre puis remonter! La descente en forêt est humide et tout ça salit notre beau tandem! La descente qui nous avait parue très forte ne nous parait pas si dure en montée finalement. En tout cas elle nous parait presque courte!

Mélange de pluie et de soleil à Morteau

Nous recontrons encore de belles montées avant d’entamer la fabuleuse descente vers Morteau! Une fois en ville, nous nous rendons directement à l’hotel où nous avons réservé une chambre. Après une douche et un peu de stretching, nous partons à la découverte de la ville. Nous essuyons une averse incroyable où nous ne voyons pas de nuages et où il fait ensoleillé! Nous repérons directement un restaurant qui à l’air très prometteur et nous revenons devant la porte à 19h, affamés. Et on ne s’est pas trompé; le restaurant Jacques Alexandre vaut définitivement la visite. On y bois un Arboy blanc délicieux et les 3 services sont extras pour un prix plus que correct. Quelle belle soirée. Le service est parfait même en étant relativement débordé vu que la salle est pleine.

Retour à l’hotel pour une bonne nuit de repos!

71,39 km * 4:35:59 * 15,52km/h * D+1120m

Après un copieux et délicieux petit déjeuner à l’hotel, nous replions tout notre matériel et nous mettons en route pour faire la première étape de la GTJ (Grande traversée du Jura) qui nous amènera à une petit village à cheval sur le Doubs, qui à cet endroit-là dessine la frontière entre la France et la Suisse.

Il fait gris et la météo annonce des averses. Il a bien plu pendant qu’on mangeait et un timide soleil se fait voir pour notre départ, nous partons donc optimistes!

3 jours avant le départ j’ai compris que la GTJ n’était pas balisée du tout. Enfin uniquement sur quelques tronçons – qui s’avèreront en fait n’être que quelques panneaux sur tout le parcours. Nous avons tout retracé sur nos cartes 100 000è, et à part en ville on ne devrait pas trop se perdre. La sortie de Montbéliard n’est pas évidente, mais finalement en suivant les pistes cyclables, on part déjà dans le bon sens et on rejoint notre itinéraire après Audincourt tout cela via des chouettes pistes quasiment sans voiture!

La D35 que nous suivons compte elle un trafic assez important. Beaucoup de camions et comme ca monte on ne va pas spécialement vite. Ce n’est donc pas un passage hyper agréable. Heureusement peu après Blamont, on prend des routes plus petites et cela devient plus sympa!

Vers midi, on est tou près du Montechéroux, au mémorial à la résistance. On se réchauffe un risotto que l’on mange sous un timide soleil qui nous réchauffe.

Nous arrivons à Saint-Hyppolyte qui est absolument charmant! C’est visiblement le rendez-vous des motards et on peut comprendre pourquoi. La nous prenons la D437C qui va nous emmener gentillement vers les hauteurs.

Arrivée au charmant village de Saint-Hyppolite

Nous avons rapidement de très jolis points de vue sur les montagnes et en chemin vers Courtefontaine nous avons l’occasion d’observer de beaux rapaces qui volent à nos côtés.

Nous faisons une petite pause « chocolat » à Trévillers où il se met à pleuvoir des cordes. Nous nous mettons à l’abri sur la place mais devons bien nous résigner à repartir sous la pluie vu qu’elle n’a pas l’air de vouloir s’arrêter! Cela se calme assez rapidement et nous roulons à nouveau à sec. Nous avons décidé de quasiment chaque fois faire les variantes de la GTJ qui sont en général physiquement plus dures mais offrent des paysages à ne pas louper. Nous quittons donc la « voie normale » à Trévillers pour aller vers Goumois via sa corniche que nous ferons en partie cet après-midi et nous ferons la suite demain.

Après quelques kilomètres de montées, nous commençons à descendre vers Goumois. Heureusement mon capitaine apperçoit en dernière minute un point de vue et nous arrivons à arrêter notre semi-remorque à temps. La vue plongeante sur le Doubs est très belle même avec cette météo maussade. Nous nous arrêtons à une autre point de vue plus loin qui offre un point de vue sur Goumois.

Le pont de Goumois, nous sommes en France, de l’autre côté du Doubs, la Suisse

Au terme d’une folle descente, nous voici à Goumois (France donc) nous traversons le pont (et le Doubs) pour mettre nos pneus en Suisse! Nous revenons sur nos pas – si je puis dire – et nous dirigeons vers le camping qui se trouve à 1km environ du village. Le camping est sympa et nous installons notre tente avant de nous doucher et de retourner au village, cette fois à pieds pour y manger. La friture de carpes est toujours à l’honneur sur les cartes. Nous prenons l’apéro maison tous les deux et du jambon blanc/salade/frites. Arrosé d’un Arboy blanc pour moi et d’eau pour le capitaine! Nous mangeons courageusement en terrasse jusqu’à ce que quelques gouttes d’eau nous tombent sur le bout du nez. Heureusement nous avions terminé! Retour au camping sous une petite pluie, lecture distrayante des magasines disponibles à l’accueil et dodo!

58,69km * 2:42:42 * 21,64km/h * D+ 150m

Taratataaa, nous voici en vacances! Cette année, nous reprenons le train Vauban au départ de Bruxelles et en direction de Basel, mais pas dans l’idée de se ré-attaquer à la Forêt Noire, elle nous a laissé trop de séquelle, mais bien pour partir vers le sud et comparer les Juras français et suisse.

Départ le jeudi de l’ascension à 7h44 de la gare du midi. Train direct et ce coup-ci on descend à Mulhouse; le trajet va donc durer dans les 6 heures. Petite inquiétude lors de l’embarquement, on ne retrouve pas le wagon belge qu’on avait eu l’autre fois et qui avait un grand compartiment à vélo ce qui nous permettait de ranger le tandem sans problème. Notre réservation indique un wagon précis et nous nous retrouvons devant un emplacement pour un vélo solo. Heureusement, dans le wagon d’à côté, les portes sont HS, ce qui nous permet d’installer tout notre matériel.

Un peu de plat avant la « montagne »!

Voyage sans encombre et nous voila à Mulhouse sous le soleil près à commencer notre périple avec une soixantaine de kms quasiment plat en direction de Montbéliard! Pour rejoindre les 2 villes, très simple, nous suivrons l’Eurovélo 6 qui relie Budapest à Nantes. Nous suivons donc le canal à un bon rythme, il fait beau et agréable. On suspecte un vent de dos qui nous facilite la tache.

On arrive à Montbéliard vers 16h, ce qui nous permet de nous installer au sympathique hotel Bristol et de nous ballader en ville. Souper au restaurant, saucisse de Montbéliard avec cancoillote pour le capitaine, friture de carpe pour la stockeuse.

Vue plongeante sur Montbéliard

112,28km * 5:41:38 * 20,07km/h

Nous voici à Dijon où nous logeons chez des amis randonneurs. En suivant leurs conseils, nous nous élançons sur la route des grands crus en direction de Beaune; nous rentrerons en suivant le canal de Bourgogne.

On part sous un ciel menaçant et couvert. Au fil des kilomètres, le ciel se dégage.

On se perd un peu le long de la route des grands crus en essayant d’éviter la nationale. On arrive finalement à Beaune où nous sommes déçus de ne pas voir les hospices; c’est payant et la cour est complétement fermée. On n’appercevra qu’un tout petit bout du toit.

La route des grands crus

Nous nous remettons en route après une rapide découverte de la ville. Dans les vignobles, les vendanges battent leur plein. A certains endroits, le jus de raison qui s’est écoulé sur la route fait coller les pneus!

La route vers le canal passe par Savigny, La Forge, Antheil. La route monte doucement pour nous faire passer des +- 100m à +- 900m d’altitude! Tout de même! On n’est partis qu’avec deux bidons, il va falloir se rationner…

Le retour par le canal est plat, légèrement descendant, d’abors en terre, puis macadamisé. Les paysages sont très beaux surtout que le soleil est bel et bien la à présent! C’est roulant, mais on commence à fatiguer alors qu’on pousse pour être rentrés avant 19h afin de profiter d’un fantastique souper arrosé … de grands crus bien sûr 🙂

49,69km * 3:22:42 * 14,96km/h

Nous voici pour quelques jours à Annecy, avant de rejoindre Chamonix et enfin Dijon, qui cloturera notre périple.
Sortie en tandem pour escalader le col de La Forclaz. Contournement du lac pour prendre la rive ouest. On reste le plus possible entre la route principale et le lac, dans les quartiers résidentiels chics. On quitte le lac pour monter au col.

Il fait un peu brumeux et heureusement pas trop chaud. La montée est dure et on fait quelques arrêts avant d’atteindre le col. De l’autre côté ce n’est plus que de la descente jusqu’au bout du lac. On reprend alors la rive est pour rentrer au camping. On se retrouve avec les concurrents d’un « run & bike » qui fait le tour du lac!

Soirée à Annecy… et raclette!

33,69km * 2:38:42 * 13,56km/h

Cette année, on devait partir découvrir la Suisse en vélo. A cause de petits problèmes physiques on opte finalement pour des vacances moins sportives dans le sud de la France, en famille et chez des amis, mais sans pour autant partir sans vélos!

Après un rapide passage à Cahors, nous avons découvert les Cévennes, en les traversant en voiture; expérience terriblement frustrante tellement les paysages étaient beaux et ces petits routes n’attendaient que nos pneus!

Nous avons ensuite passé quelques jours près de Buis-les-Baronnies, au très beau et sympathique camping le gîte du lièvre.

On descend vers Buis-le-Baronnies en tandem pour y faire des courses, aujourd’hui!

La vue depuis la piste vtt vers le camping

On commence par quasi 3km de montée vtt pour enchainer ensuite par 13km de descente! Une fois au village, on se ballade et on découvre; ca sent bon le sud par ici! Nous effectuons donc quelques courses, on mange un bout à la sortie du village et nous voila déjà en train de nous attaquer à la montée. C’est dur mais on avance! Il fait très chaud et le soleil tape, ca fait du bien d’être à l’ombre.

La route et ses oliviers

On est pas fâché de retrouvé le camping et sa piscine même si l’eau y est glacée! Petit plongeon avant d’aller découvrir, à pied cette fois, un superbe sentier qui nous amène au col du Sanguinet.

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