Sur les routes namuroises
En Brabant Wallon
Yorkshire Dales
En route vers le Kirstone Pass dans le Lake District
En mode tout terrain dans les Dales
Dans le Yorkshire
Aube brumeuse à Profondeville
Sur les routes au coucher du soleil
Petite escapade autour de Bruxelles
28,39 km * 1:37:19 * 18,01 km/h
Ce jour la on ne fait qu’un très courte sortie en Forêt de Soignes, car je caille vraiment, mes pauvres petits sont tout gelés!
Les pieds ne sont pas les seuls – Ganzepootvijver gelés aussi
Pour me consoller, la forêt est superbe, il fait ensoleillé et les paysage sont grandiose. Mais qu’est-ce que ca caille!!!!
32,83 km * 1:54:48 * 17,35 km/h
Histoire de bien commencer l’année, allons donc rouler un peu! Il fait super froid et couvert, et alors??? 😉
38,00 km * 2:11:30 * 17,73 km/h
Petite sortie en forêt pour s’ouvrir l’appétit pour le réveillon… Il fait couvert et froid, j’ai les pieds gelés (comme d’habitude). La forêt est quasi déserte.
Comment il fait pour ne pas avoir froid???
38,78 km * 2:09:04 * 18,27 km/h
Première sortie depuis notre nouveau nid! Car non, nous n’étions pas en hibernage mais plutot bien occupé par notre déménagement. Bon c’est toujours pas fini, mais on devait sortir donc un petit tour en FDS!
Nous partons rejoindre le bois de la cambre (seulement 2km!) puis nous enchainons avec le fameux parcours du road-book. Ca fait du bien!
Uh?
Il fait froid, mais nous n’avons jamais vu la forêt de soignes aussi remplie! Des marcheurs, des vététistes, des chiens,… de tout quoi! On fait un petit 40km bien agréable qui nous incite à ne plus attendre aussi longtemps avant de réenfourcher notre tandem.
20,38 km * 1:23:07 * 15,69 km/h
Ce matin, on avait décidé de faire un nouveau road-book. En l’occurence celui du dernier numéro (#114) d’O2 Bikers, à Torgny.
L’affaire s’est vite révélée impraticable : d’abord les deux heures de route promises pour y arriver nous rebutaient un peu. En plus, j’avais oublié d’imprimer le fameux road-book hier au bureau. Ici, impossible de le faire…
Je me suis donc retrouvé à feuilleter, en pyjama, la vieille farde où j’avais commencé, il y a un siècle, à classer des photocopies de road-book. Et c’est de là que j’ai pu exhumer ce road-book #27 Ronquières. Une région que l’on a déjà eu l’occasion de traverser lors de nos ballades vers Seneffe, puis de notre « mini tour en Belgique ».
Comme on ne doute de rien, on part donc sur un tout vieux tracé avec juste la feuille reprenant les pictos, en ayant juste relu le texte en vitesse. Départ annoncé « à côté du Sibémol ». Arrivé sur place, le café a disparu. Heureusement que la façade n’a pas été repeinte et qu’on peut deviner qu’il y eu une enseigne sur cette maison.
On trouve donc presque par déduction le premier chemin à emprunter… et c’est là que le compteur nous fait son caprice. Or qui dit road-book dit compteur, sans quoi on peut rentrer à la maison. Un caprice n’étant jamais que passager, on peut bientôt enfin entamer ce parcours par une ancienne ligne de chemin de fer…
Tchou-Tchooouuu ! On chauffe la locomotive !
Le ciel est à la fois d’un bleu éclatant et parsemé de nuages. Bref le temps idéal pour pour profiter du paysage…
On se retrouve vite sur de chouettes petits chemin entre les prairies. Les vaches bien dodues semblent presque qu’effarouchée par notre passage… Serait-on les seuls à emprunter ces chemins ? Des joggeurs joyeux (et rapides !) viendront nous prouver le contraire. On se range d’ailleurs sur côté pour leur céder le passage, au risque de laisser notre cuissard accroché aux barbelés qui délimitent le chemin.
Chemin entre barbelés
On s’engage dans un chemin rempli d’herbe assez haute. Evidemment, les herbes cachent des trous et de fosses, sans compter les pavés qui nous déstabilisent. D’ailleurs, on fini par marcher un peu.
L’enfer de ce chemin terminé, on enchaîne sur le suivant : nous voilà obligé de démonter le pneu boueux pour enlever une grosse épine qui a transpercé la chambre à air. Première crevaison sur le tandem !
Le parcours ne cesse de tourner autour du plan incliné, dont on voit souvent le sommet de la tour… On fini par rejoindre le sommet du plan par le canal ; avant de passer en dessous et de le laisser derrière nous.
Le plan incliné !
On rejoint ensuite l’ancien canal (Ronquières-Seneffe) qu’on a déjà parcouru. Le road-book nous fait traverser pour prendre un petit single utilisé uniquement par pêcheurs pour rejoindre leur poste. Les ronces sont reines ici, et quand je veux me mettre sur le côté pour croiser d’autres vététistes, ma stockeuse reste accrochée aux méchantes épines…
Le passage est loin d’être une partie de plaisir, et au bout de ces 800 mètres d’épreuve, on décide de mettre le cap vers la voiture, en roulant cette fois « du bon côté » du canal, sur le halage. On y croisera deux tandems coup sur coup ! La pluie s’en mêle… et on n’est pas fâché de remettre TTTim dans la voiture…
Cela dit, on reviendra sûrement. Plus tard dans la saison, quand le froid aura enfin fait son apparition pour faire disparaître ces foutues ronces et autres herbes qui ont un peu gâché la ballade…
40,75 km * 2:11:57 * 18,76 km/h
On se décide pour un levé matinal, en espérant un beau ciel et de belles couleurs.
Ce n’est pas la première que l’on tente l’expérience. Comme le soleil se lève de plus en plus tard, on a de moins en moins d’excuse pour ne pas la réussir…
On démarre par la rue de la Loi (le soleil est dans notre dos), puis rue Royale jusqu’à la place Poelaert et sa vue panoramique. Et on n’a pas été déçu !
Place Poelaert, on débouche les égouts…
D’un côté, le ciel semble être en feu ; de l’autre, le Nord-Ouest est illuminé des rayons solaire, le ciel est gris et épais, et un arc-en-ciel s’élève depuis l’ascenseur du Palais de Justice…
On poursuit notre route via l’avenue Louise, très calme à cette heure, direction le Bois de la Cambre. Il est un peu tard et il n’y a plus la magie de l’autre fois. Notre ballade se calque après sur un des parcours habituels… A l’aise.
30,77 km * 1:51:02 * 17,11 km/h
Levés aux aurores, on retente un lever de soleil sur Bruxelles. Bon ok, quand on part le soleil est déjà levé, mais bon… Direction l’avenue de la couronne dans un premier temps, pour y voir le point de vue depuis le pont, puis les étangs d’Ixelles et le bois de la cambre.
Il fait tout simplement magnifique. L’arrivée au bois de la Cambre est merveilleuse, une fois les automobilistes du samedi coincés derrière les barrières ;-)!!
Le soleil commence à percer entre les arbres. La rosée s’évapore et crée une brume. On croise un photographe, qui est au bon endroit!
le Bois de la Cambre au levé de soleil
Après quelques minutes de contemplation et quelques photos, nous reprenons la route. On croise quelques joggeurs motivés, dont certains parviennent même à se faire photographier!
Ménage à trois…
Ensuite nous nous dirigeons vers la forêt pour y faire un de nos tours habituels et préféré. Les paysages y sont splendides, par contre la température y est fort fraiche!
Après une 20aine de km je suis comme gelée et supplie mon capitaine de me ramener à la maison. Il doit bien y avoir une différence de 15 degrés entre la température sur notre trottoir et celle en pleine forêt sous les arbres. Retour par le Rouge Cloitre.
48,18 km * 2:37:53 * 18,54 km/h
Cette, fois, c’est quasiment après une grasse mat’ qu’on a fait prendre l’air à Tttim. Non pas par manque d’envie, mais bon… Je crois qu’on avait besoin de dormir un peu !
Ce n’est pas parce qu’on part tard qu’on doit se contenter d’une petite sortie. On se décide donc pour le Château de La Hulpe, avec départ par le bois de la Cambre -merci la fermeture du bois le dimanche- et début de road-book #33.
Un des étangs proches du château
Le ciel est chargé mais le soleil est de la partie. Dire qu’il fait chaud serait mentir ; mais là où le soleil se montre, il fait bon. Et sans avoir besoin de thermomètre, on sent très bien les endroits qui sont restés à l’ombre depuis cette nuit…
L’arrivée dans le parc du château de La Hulpe est magnifique, embellie par le soleil…
Au abords du château
Après environ 25 kilomètres, on s’arrête un instant pour déguster une barre Ovomaltine (oui, un achat impulsif à la caisse du magasin ; et un souvenir d’enfance, en plus !). On s’installe sur notre premier banc préféré, au bord de l’étang…
Une dame passe et jette du pain à l’eau. Elle ne restera même pas le temps de le voir nourrir la faune du plan d’eau. D’abord des volatiles qui tâtent de ces quignons de pains. Puis après quelques instants les gros poissons qui viennent comme à leur habitude faire les goulafs… Enfin, à notre surprise, une myriade de petits poissons qui tenteront -avec peine- de grignoter quelques miettes. Effet du dragage de l’étang, ou simplement jeunesse de l’année ?
Une chose est sûre : ils mangent avec plus de hargne que nous. Les souvenirs d’enfance, en matière de friandises, devraient bien ne rester que de bons souvenirs…
Retour classique, douche et dîner forcément tardif. Et Tttim n’est pas encore couché : aujourd’hui, il reçoit une nouvelle chaîne. Celle d’origine aura accompli 4176 km…
30,09 km * 1:36:50 * 19,00 km/h
Tombés du lit, on est chaud pour une sortie spéciale « levé du soleil ».
Evidemment, le temps de s’habiller, déjeuner, monter Tttim… Le soleil ne nous a pas attendu. Mais n’empêche, la sortie est belle, malgré le temps couvert. D’ailleurs le soleil finira par percer les nuages… et le feuillage encore dense de la FDS. La preuve :
Ombre !
? km * ?? * ? km/h
Bruxelles libre !
Après les mésaventures de l’an dernier (cyclistes kamikazes, troupeaux sur roues, encombrements monstres de moyens de déplacement alternatifs ou verts, et j’en passe) nous avons décidé d’aborder la journée sans voiture par les quartiers extérieurs, à commencer par notre futur quartier.
La balade est agréable, et le calme des rues est plaisant. Comme toujours lorsqu’on tourne un peu en ville, on découvre des coins inattendus.
Chée de Waterloo
En cours de balade, on se décide tout de même à rallier le centre pour aller voir le futur tram T3000 de la STIB. Peine perdue : les vélos vont dans tous les sens, la place Poelaert est uniquement piétonne (sage décision, soyons en sûr), et le T3000 est déjà bondé.
Comme on n’a pas pris le U et la rallonge antivol qui va avec, on est contraint (quelle chance !) de nous éloigner bien vite.
Ensuite, on remet le cap vers l’appart’ pour un petit arrêt technique, avec de repartir pour un petit tour dans le Sud…
Bien belle journée !
