44,32 km * 18,43 km/h

Temps chaud mais bien aéré par le vent rafraichissant !

Départ classique pour rejoindre la Nero-route… après quelques gouttes de pluies pendant qu’on fait les derniers réglages sur la nouvelles tige de selle du capitaine et la nouvelle hauteur du guidon de la stokeuse.

Les jambes sont encore un peu lourde d’hier, mais rien d’alarmant…

On s’engage franchement dans le passage TT proche du Gansepootvijver. Mais assez vite, les bosses successives font perdre les pédales au moteur… Il est temps de passer au pédales automatiques qui tiennent vraiment les pieds. D’autant que dans les enchaînements de reliefs chaotiques, la tige de selle suspendue ne doit pas aider à se cramponner…

Arrivé à « la jungle » (portion TT le long de la ligne de chemin de fer Bxl-Ottignies et de la chée de La Hulpe), on tente pour la première fois le passage « sur le tandem » de la grosse dénivellation qui marque le début du parcours… En passant droit, il est impossible de passer sans toucher les pédales (qu’on ne peut arrêter d’actionner dans ce sens, vu la montée). Mais en prenant d’abord sur la droite puis en passant la difficultés en diagonale, ça passe. Juste, mais ça passe ! On n’est pas peu fier, d’autant que tout un groupe de cyclistes à pu nous voir depuis le pont du chemin de fer. En tout cas j’espère bien qu’ils regardaient !
Plus loin dans le passage, on croisera un autre tandem TT !

On décide de rejoindre le vrai début de la Nero-route à Hoeilaart pour manger un petit quelque chose : c’est l’heure.

On découvre à cette occasion qu’on s’est à chaque fois trompé en empruntant le LF6 à cet endroit. Le vrai LF6 (couplé au LF2) est encore plus sympa !

Au centre sportif, nous nous décidons pour des frites… qui sont très bonnes, mais loin d’être diététiques et adaptées à notre programme sportif… Enfin…

Retour par la fin du parcours Bloso, moins les passages vraiment TT parce qu’on est fatigués et qu’on rentrerait bien à la maison… En plus, le ciel est des plus menaçant !

28,42 km * 19,54 km/h

Et une sortie nocturne !

Toute bonne chose ayant une fin, nous quittons le bbq pour rentrer à Bruxelles alors que le soleil est couché depuis un bout de temps. Ben oui, en TTT !

Phares clignotants avant-arrière, projecteur halogène à l’avant, bracelets réfléchissants (dont un clignotant) un peu partout… On essaie de se faire voir.

On part en direction de Rosières sur une route en travaux… autant faire du TT tout de suite ! Dans le court de la descente, j’oblique une fois à gauche. Mauvais pioche : on atterrit dans une propriété privée. Je commence à m’inquiéter, vu que ça fait lontemps que je ne suis passé par ici. C’était à pied en plus, et je suivais un parcours fléché. Et là dans le noir…
L’E411 este pourtant toujours proche (et du bon côté). Une grosse descente et hop, on peut passer en dessous pour poursuivre vers Genval

Arrivé au lac, on est surpris par la cacophonie des oiseaux massés sur la petite mare qui jouxte le lac. Quelle vie ! Ah oui ! Les clients d’une terrasse nous acclament, aussi. J’imagine que les vélos sont rares à cette heure…

On essaie de retomber sur le RV que nous avions suivi récemment… Saurons-nous le repérer dans le noir, à la seule lumière des phares ?

Heureusement, notre mémoire ne nous fait pas défaut et nous retrouvons assez facilement l’itinéraire. Tout est plus facile et plus court que dans le mon souvenir. Enfin, la dernière fois, la remorque nous suivait de près !

A La Hulpe, retour sur la RN275 (il est trop tard pour traverser la forêt de Soignes, dommage). Carrefour de Groenendale, on prend tout droit direction le Gansepootevijver puis le bois de la Cambre. Heureusement, on dispose rapidement d’une piste cyclable « en trottoir » qui nous permet de nous isoler du trafic qui est tout de même loin d’être négligeable. Dommage, on ne jouira pas trop du calme de la forêt qu’on traverse. Il faut d’ailleurs connaître bien l’endroit pour le savoir tant il fait nuit noir !

Le bois de la Cambre est toujours fermé et nous empruntons là aussi le macadam. Le retour est tout ce qu’il y a de plus habituel…

Et il n’y a pas de photo… parce qu’il faisait vraiment trop noir !

12,09 km * 21,51 km/h

Aventure, aventure !

Tttim étant depuis mercredi chez Overbike pour un gros entretien (après plus de 2 ans et 5480 km), et un barbecue étant programmé à Wavre pour ce soir, nous décidons de rejoindre Overijse en transport en commun pour enfourcher notre fier destrier avant une sympathique réunion autour de feu…

Tram et métro STIB, bus De Lijn, tout se combine très bien et nous joingons Forest à Overijse en une heure à peine.
Tttim nous attend et nous partons rapidement en suivant la N4, heureusement pourvue d’une bonne piste cyclable.

Après un bon bout de plat, on entame la descente toujours rapide et amusante du centre d’Overijse. L' »épingle » autour de l’église calmera un peu nos ardeurs : il faudrait la refaire pour choisir une trajectoire plus tendue. En espérant ne plus croiser des quad s’amusant à passer le virage sur deux roues… avant de retomber lourdement sur quatre roue et se diriger subitement sur leur gauche…
La montée vers Tombeek, avec sa piste minimaliste dans cette sorte de goulet est avalée à bon rythme. Allez, on ne va rien dire pour la voiture qui nous double à vive allure sans faire le moindre écart. Mais on n’a pas pu prendre l’aspiration.

Je passe les détails de l’ascension (j’exagère un peu) entre Tombeek et Wavre… Au zoning nord, on cherche le chemin qui permet de traverser les champs vers le bois Sainte Anne. On se paiera un tour sur le route macadamisée toute neuve de l’extension du zoning qui -ouf- ne remplace pas le chemin… celui-ci étant juste à côté, un peu plus loin.

Chips, merguez, camembert, Schweppes agrumes et tutti quanti. Je crois qu’on peut se le permettre, non ?

46,11 km * 21,48 km/h

Ciel couvert mais encore fort chaud.

Après avoir étudié la carte, on imagine la possibilité d’aller explorer de nouveaux coins en commencant par la LF6, pour une fois dans le sens « B », rejoindre le chateau de Gaasbeek, et de la, pédaler vers Erasme pour y reprende la promenade verte jusqu’au canal.

Nous dégringolons donc comme à notre habitude vers le canal, passons devant le CRB, un seul rameur à l’eau, passons Ruisbroek et en arrivant au pont suivant retrouvons le LF6 que nous prenons cette fois à droite. Malgré le mal au genou de mon Capitaine, nous roulons à vive allure.

Le côté droit du canal rejoignant Halle est bucolique mais secoue un peu. A Halle, nous tournons à droite, passons par la très jolie place, puis quittons la ville sur une grand route, munie d’une excellente piste cyclable. En quittant cette route, nous roulons en pleine campagne. Très agréable.

Bruxelles est déjà loin

Nous passons par Sint-Pieters-Leeuw, et rejoignons Gaasbeek en ayant déjà une trentaine de kilomètres affichés au compteur. Petite pause repas aux alentours du chateau, le parc de ce dernier étant déjà fermé (il est quasi 21h, la France va bientot affronter le Portugal…).

Puis nous repartons vers Vlezenbeek, en direction d’Anderlecht, où nous arrivons bien vite. Arrivé devant Erasme, il n’y a plus que quelques coups de pédale à effectuer et nous serons chez nous. Le passage par la petite réserve naturelle est bien secoué comme il se doit. Passage devant Ikea et retour par le canal.

Personnellement bien emballée par cette promenade je la tiendrai dans celle à refaire. Peut-être un peu longue à faire le soir après une journée de boulot…

51,04 km * 17,56 km/h

Temps ensoleillé et très chaud !

Temps exceptionnel sur Bruxelles aujourd’hui ! De notre fenêtre, on peut même remarquer qu’il n’y a plus cette brume de pollution qui couvrait hier matin la cité. Ayant une course à faire « dans le nord », nous ne pouvions qu’enfourcher le tandem malgré sa transmission toujours blessée ! Ce sera petit ou grand plateau, le moyen étant en grève !

Départ comme mercredi pour rejoindre le canal, mais là, changement : on bifurque à droite vers Anderlecht. On s’étonne de retrouver facilement le trajet de la promenade verte qui, malgré le projet qui existe, n’est pas fléché ni aménagé. Après tout, tant mieux, peut-être ?

Entre Anderlecht et Berchem

Sans quitter Bruxelles, on traverse plusieurs « réserve naturelles » et on se retrouve vite en pleine campagne… l’image ci-dessus en est un beau témoignage.
On redécouvre aussi de belles architectures, dont les cités jardins ne sont pas les moindres…

Arrivés à Ganshoren, il est temps de faire une bonne pause pour dîner… et faire la petite B-A qui nous a amené là.
Pour le retour, on se décide pour un retour sur le même parcours effectué en marche inverse…

Sous le chemin de fer

En arrivant à Forest, on fait un petit stop au « self carwash » pour se payer un tour de flotte pour rincer Tttim ! On serait bien mis sous le jet d’eau aussi, histoire de se rafraichir un peu ! Il fait très chaud, et l’eau du bidon et du Camel est… torride.

Allez, pour finir la ballade en beauté, on ira manger une bonne glace…

37,15 km * 19,69 km/h

Beau temps ce mercredi !

Il fait tellement beau… l’appel du TTT est irrésistible.

Pour varier les plaisirs, on décide de partir à nouveau sur le parcours du LF6, soit une belle petite boucle démarrant le long du canal, avant de bifurquer sur la gauche à Halle Buizingen afin de grimper sur les hauteurs de Beersel. Retour par Rhode puis forêt de Soignes pour terminer.

Calme plat au canal : l’eau est lisse comme rarement, et malgré l’heure pas trop tardive, personne du CRB n’est sur l’eau. Le halage est avalé sereinement à près de 30 km/h ; il n’y a pas de vent, cette fois.

A buizingen, on s’arrête sur le pont du chemin de fer pour regarder vers Bruxelles et deviner -de loin- notre quartier… Quelques centaines de mètres plus loin, c’est à nouveau les zig-zag en TT urbain dans les travaux de la chée d’Alsemberg. On connait maintenant le circuit : on n’a plus besoin de regarder les flèches !

L’enfer est pavé… de montées

La montée fait mal, tout de même… D’abord en klinkers entre les champs (la pente la plus forte), puis en pavés entre les prairies. C’est le moment qu’on choisit pour casser la croute, et accessoirement observer la vue que le beau temps nous offre enfin ! Et nous sommes bien surpris de voir à quel point Bruxelles se laisse découvrir. Bon… sur la photo, on ne distingue plus grand chose ; mais on a quasi vu notre immeuble !

Ah ! Bruxelles !

Sur la suite du parcours, les passages à l’ombre nous paraîtront presque froid… Tout se passe sans encombre jusqu’à Rhode, ou des travaux nous obligent à quitter la piste cyclable en saillie. J’ai peut-être fait une bêtise en changeant de vitesse au même moment. Toujours est-il que la chaîne trouve le moyen de se coincer entre l’anti « chain-suck » et le plateau du milieu. On a bien fait les choses : l’anti chain-suck est plié et s’est glissé entre deux dent du petit plateau. On n’a d’autre choix que de le dévisser (merci le multi-outils) pour dégager la chaîne.
Mais en repartant, on remarque tout de suite que la chaîne refuse de tenir le 36 dents : la plateau est complètement plié !! Après 5300 km, l’heure d’un grand entretien vient de sonner !

Le retour se fera calmement en exploitant les deux plateaux extérieurs… Et finalement on se tape une moyenne pas trop vilaine !

39,11 km * 16,99 km/h

Temps couvert et pluie sur la fin.

Tellement motivés par la Nero MTB route et malgré un samedi très sportif et couché tard on a quand même envie d’aller rouler et refaire ce très chouette parcours.

Après quelques coups de pédales on sent tout de suite que ca fera l’effet d’un décrassage! Départ tardif, on achète quelques couques que l’on mangera au bois de la cambre comme pour narguer les coureurs…

Les passages tout terrain sont toutefois toujours aussi amusants. Il y a beaucoup plus de monde que jeudi soir! Pas étonnant vu l’heure…

La forme n’y est pas et mon capitain qualifiera même notre moyenne d’exécrable! On parviendra à la faire remonter un peu au retour. Peut-être un peu aidés par la pluie d’ailleurs… Le dernier singletrack est déjà glissant, il est encore très roulant, mais les racines sont terriblement dangereuses…

On rentre en se disant que c’était sympa malgré la méforme et la douleur de nos muscles!