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Destination choisie "Belgique"

45,02 km * 18,56 km/h

Couvert et quasi sec.

La journée qui nous attend est 100% connue. Mais ce coup ci on n’ira pas jusqu’à Halle, on coupera une fois arrivé à Gaasbeek pour rejoindre Anderlecht. Matons donc au petit dej. Costaud les matons! Avec un j’ai trop et mon capitaine s’en mange 2…

Routine: on replie et attache tout et on repart. On descend on monte on descend.. Puis voila qu’on se retrouve sur une rando de motards. Ca va ils roulent tous cool et ca ne dure pas trop longtemps. La météo n’est toujours pas très réjouissante, et nous ne faisons pas beaucoup d’arrêt photos. On trace. On a envie de rentrer. On se dit qu’on aura surement du soleil pour notre arrivée. Et c’est le cas. Une fois le tandem arrêté en bas de chez nous, nous voyons les premiers rayons de soleil de la journée…

75,30 km * 17,80 km/h

Pluie de 12 à 16h.

Finalement heureusement qu’on a pas des donc de voyants pour prédire le temps, car ce jour la on ne serait peut-être pas partis! 😉 Départ du B&B après un copieux petit déjeuner, en reliant les noodpunten, trajet que l’on avait pu réaliser la veille grâce à la carte qui se trouvait dans notre chambre. C’est vraiment un super moyen pour se créer des itinéraires sympas. A nouveau on loupera une flèche, mais on s’en rendra vite compte. On traverse l’étang De gavers, mais ce n’est pas celui de Geraardsbergen (notre destination finale) mais celui d’Harelbeke. Et puis nous rejoignons notre LF6 fétiche. Direction Kluisbergen. Ce nom me paraissait familier mais pourquoi donc? Je vais le savoir dans quelques kilomètres… On croise un magasin molécule ou j’achète 2 sandwiches qu’on garde pour plus tard. Et voici qu’on approche de Kluisbergen, ou j’avais vu le seul et unique camping de la région, le camping panorama. Evidemment passer la nuit de la veille la aurait été difficile, cela aurait rajouté une bonne 30aine de kilomètres à notre route déjà longue. Mais pourquoi ce camping s’appele-t’il Panorama? On tourne un coin et OUCH! Nous voila au pied d’un mur. Un panneau sur notre droite nous annonce: Kluisbergen – montée sur 1100km * 11%. Haaaaaaaaaa oui! Bon allez on se motive la, pas question de mettre pied à terre, on arrivera en haut même si on fait du 5km/h! Et on y arrive effectivement, lentement mais surement. Un petit plateau pour se remettre de la première partie, la plus dure je pense et on entame la suivante. Arrivée au sommet, même pas un petit point de vue à se mettre sous les yeux… Une carte un parking désert et une sorte de totem. Et la pluie qui commence aussi. On mange à l’abri des arbres. Et reprenons notre souffle aussi.

Kluisberg
Kluisberg…

On se demande si on attend que la pluie passe ou non. Et puis on se dit que non. Et on s’attaque à la descente, qui n’est pas immédiate non plus, on remonte un peu, puis du plat et puis ho un point de vue! Ha ben on ne voit pas grand chose avec cette purée de pois… Sur le banc en face de la vue on peut lire: « Daar aan de overkant, het weidse waalse land »…

Le Pays wallon somptueux
Le Pays wallon somptueux, sous le soleil surement!

Et puis on l’a enfin notre descente – quasi aux enfers – route mouillée, il pleut encore, en 2 minutes on a les chaussures trempées. Arrivés en bas, je demande à essorer ma chaussette droite. Hmmmm….

Ensuite nous roulons gaiement sous la pluie, bah finalement c’est pas si terrible que ca… et bientot nous arrivons en terrain connu! Partie du LF6 que nous avons déjà parcouru quelques semaines plus tot! Tout est beaucoup moins joli d’ailleurs… Je fais une halte sous un arbre pour y manger la fin de mon sandwich. Je sens que mon capitaine a un petit coup au moral. Viens alors un fermier qui rentre dans son bois qui se trouve derrière nous qui dis que le temps n’est pas terrible… Non ca on ne peut pas dire. Les autres phrases qu’il nous adressera me furent incompréhensibles malheureusement… nous répondons donc d’un sourire benêt…

On passe De Gavers, l’autre, celui de Geraardsbergen, puis nous arrêtons dans un petit magasin ou j’achète 3 matons, 3 bananes et un coca. Les matons c’est pour le lendemain matin ou pour le soir si on ne trouve rien. Car au camping de Galmaarden, on est pas sur du tout de trouver à manger. De la on sait ce qui nous attends, le bosberg, mais bon franchement après le Kluisberg c’est vraiment facile, je dis pas qu’on monte à du 20, mais ca nous parait vite passé. Et nous voici au camping, donc l’ambiance est aussi tout autre. Il pleut toujours, ca n’a pas arrêté depuis midi. On profite d’un accalmie pour monter la tente, qui finalement n’est pas vraiment mouillée à l’intérieur. Le temps de tout monter et il repleut plus fort.

Douche chaude et puis petite sieste/radio. Puis vient la problématique du souper. Pas question de redescendre à Geraardsbergen. Je vais voir si le café devant le camping est ouvert. Je vois quelqu’un dedans mais ca ne me parait pas ouvert, je vais voir à la buvette du camping et il n’y a pas grande activité. Je retourne au café et la lumière est éteinte. Je pense devoir retourner penaude chez mon capitaine, quand la gérante du camping vient à notre secours et, surement par pitié, nous propose des stoofvlees met friet. « Ja graag!! ». Tout heureux d’avoir ca, on dévorre notre plat seuls dans cette grande salle absolument muette aujourd’hui. Puis après avoir remercié notre cuisinière, regagnons notre tente pour une repos bien mérité.

97,93 km * 18,42 km/h

Couvert mais sec, petit vent.

La nuit fut fraiche, mais bien au chaud dans nos sacs elle fut très reposante. On est donc prêts à affronter notre longue journée! Il pleut encore mais je me décide à aller à la douche. En revenant, la pluie a cesser, il faut y aller! Mi part se doucher, je commence à ranger les affaires, on essaie de secher un max la tente et on replie tout. Ce soir, n’ayant pas trouvé de camping dans la région de Kortrijk, ce sera B&B…

Petit déjeuné sur la plage, assez tardif vu la queue à la boulangerie! Ben oui c’est dimanche! Et on est reparti. Il ne pleut pas, mais la ciel est tout gris tout triste. On a bon espoir que ca va changer! Nous traversons Veurne, toujours aussi sympa, une petite hésitation, il manque un panneau, on se trompe, demi-tour et on retombe sur le panneau suivant. On commence à avoir le feeling LF, et on sait assez vite dire quand on s’est trompé! Petit passage sympa le long d’un canal avec beaucoup de cyclos dont un criera « hé, een tandem met een karretje!!! ». Tja… 🙂

oudekapelle
Oudekapelle

Notre objectif est de manger à Ieper ce midi. Ce qui représente la moitié de notre trajet. Jusque la on est encore beaucoup dans les campagnes, le long d’un canal ou l’on croisera les participants d’un run&bike. Le long du canal, c’est vite lassant, tout plat, à pédaler de facon constante. Heureusement ce n’est pas trop long et nous voila à ieper. Avec déjà plus de 40km au compteur. On mangera sur la grand place. Très jolie, malheureusement, il y a justement la foire. Et pour la première fois depuis notre départ on va bien manger. On ne s’attarde pas trop, sachant que notre route est encore longue. Nous avons rendez-vous à 18h chez nos hôtes. Passé Ieper nous devons rejoindre le LF6a. Une fois celui-ci rejoint, c’est à nouveau le long de l’eau, la Leie. Et la pour le coup c’est long, jusque’à Kortrijk. Mais bon faut ce qu’il faut, donc on pédale. En plus on ne s’arrête meme pas pour prendre des photos tellement le ciel est gris et la lumière est plate. Arrivés à Kortrijk, voila qu’on nous fait sortir du chemin de halage. Ce qui nous fera préférer la nationale pour rejoindre le B&B.. pas un très beau choix, mais le plus court. Il nous faut encore bien 10km pour rejoindre le B&B (qui entre parenthèse est superbe) et on devra même se remettre en selle le soir pour aller au resto. Mais très bien conseillés par nos hôtes, nous y mangerons une étonnante tomate crevettes, alliant crustacés, légumes et fruits!

Nous rentrons à la tombé de la nuit et nous couchons immédiatement.

70,73 km * 18,72 km/h

Variable, soleil et averses.

Le temps file, nous voici déjà à notre second long week-end de l’été en tandem. De l’été, je vais le dire parce qu’on est en aout, car la météo de ces derniers jours laisserait à prouver qu’on ne connaitra pas la canicule du week-end de fête nationale…

Notre train part de la gare de Bruxelles-Midi à 6h41, lever tôt donc, affaires préparées la veille, on déjeunera dans le train pour perdre un minimum de temps et voila que nous sortons tout sur le trottoir, et qu’il se met à pleuvoir! Bah…. En selle, tout phares allumés, nous dégringolons vers la gare, et arrivons en moins de 3km sans avoir pédalé ou presque! On achète les couques, le train arrive, nous allons voir le contrôleur, pas de problème pour mettre le tandem dans le train! On embarde tout ca, la remorque également et nous installons. Dans 1h30 nous serons à Poperinge. De la nous rejoindrons De Panne, en équilibre entre la France et la Belgique!

Le trajet se passe calmement, il y a même du soleil quand nous sommes presque arrivés! Voila qui nous remonte le moral! Et nous voici à destinations. Nous descendons du train et voila qu’il se met à pleuvoir à immenses gouttes! En 3 secondes nous sommes trempés, tout comme les parents venus dire au revoir à leurs enfants dans le trian voisins… Nous retrouvons TTTim et la BOB, et après 3 minutes il ne pleut plus… Quel accueil! Enfin tout cela n’est pas bien grave!

Nous nous mettons en route dans la ville et guettons les panneaux de LF6. Très rapidement nous tombons sur un. LF6a, nous devons suivre le B donc faisons demitour. Nous traversons donc Poperinge en route vers le nord, vers la mer et peut-être le soleil?? Se succèdent alors des campagnes avec des petites routes étroites où il n’est pas toujours facile de faire demi-tour avec un tandem+remorque sans tomber… (hum hum). 🙂

Splendide lumière
Splendide lumière

Si le temps est moyennement convainquant, la lumière quand à elle est magnifique. Ciel tourmenté oblige, les couleurs sont chaudes et denses, ces paysages de campagne prennent une allure extraordinaire.

reflet dans les flaques
Reflet dans les flaques

Nous sommes donc vraiment à cheval sur la frontière Française et nous arrêterons en France pour manger un croque à 2 euros. Pas cher… mais ca ne nourrit pas son cycliste ca. On se dit donc qu’on mangera plus tard de façon plus conséquente. Nous continuons notre route, et passons au milieu de dunes superbes. Bientot nous arrivons à Adinkerke, et nous y découvrons un côté que je ne lui aurait pas soupçonné: un supermarché sur rue de clopes et alcohol… pas très glamour tout ca.

Nous sommes maintenant sur le LF512 qui n’a de LF que le nom et en tout cas pas la signalétique, ce qui nous vaudra de nous perdre car je pense que le passage sur la grand route/supermarché d’Adinkerke n’était pas au programme!

De la on retombera sur le LF1 puis finalement on ira au pif du capitaine, qui connait bien De Panne et qui nous amène sur la digue de façon magistrale! Malheureusement sur la digue comme ailleurs il n’y a pas de soleil… On regarde la mer puis on se décide à manger quand meme, il est 14h et le croque est déjà loin… Pas facile de trouver à manger! Les snacks et restos sont très nombreux mais à des prix incroyables! On préfère aller plus au centre, vers la friterie de la place mais elle est fermée. On finira donc dans un resto, pour manger des carbonaras. Je prends une petite portion, Michel une normale. A part le prix on ne voit pas la différence. Ces pâtes pour lesquelles on a attendu très longtemps sont vraiment mauvaises, aucun gout et baignant dans de la crème. Mais bon faut bien manger.

La pluie ayant cessé depuis quelques temps, on se dit qu’il serait temps de rejoindre le camping et d’y installer le campement pour la nuit. Et on fait bien! Car le temps de s’inscrire, de déballer nos affaires et de monter la tente, des grosses gouttes se mettent à tomber! On jette matelas et sacs dans la tente et nous y jettons ensuite et c’est la drache! Ce qu’on ne sait pas encore c’est qu’elle va durer jusqu’au lendemain matin et qu’on reviendra trempés jusque’à l’os de notre souper… :-))) Sinon la nuit fut bonne… meilleure que celle de nos voisins « trempés mouillés »…

29,67 km * 18,85 km/h

Couvert mais agréable.

Super sortie, courte mais speed et intense en forêt de Soignes. Départ difficile pour ma part, j’ai toujours du mal à décoller après le boulot. Mais elle fait partie de celles qu’on ne regrette pas! Passages de la Nero route, descente super rapide vers les ganzepootvijvers… on s’éclate! Et on passe les 6000km!

59,75 km * 18,53 km/h

Trois petites gouttes et puis, soleil !

Début dans Bruxelles pour rejoindre Schaerbeek et « La Maison du Vélo » où nous faisons l’acquisition d’une sacoche de guidon Ortlieb, d’une paire de gant pour le capitaine, et de deux paires de bar-ends (après avoir hésité avec un guidon « papillon » pour la stockeuse).

On continue vers Evere pour rejoindre la promenade verte, avec l’idée d’attraper la forêt de Soignes.

Notre passage sur cette promenade verte commence à dater, mais on s’y retrouve tout de même. Au Woluwe Shopping Center, on s’achète deux salades qu’on mangera comme dîner au parc de la Woluwe.

Après ce sera l’avenue de Tervuren direction les quatre bras de… Tervuren, puis le passage que nous faisions souvent quand on habitait dans le coin.

Le temps est agréable, la sacoche montée dès la porte du magasin franchie tient bien le coup, les bar-ends sont super confortable ! Nickel !

30,00 km * 18,34 km/h

Agréable et couvert.

Après tout ce canal on avait comme un manque de Forêt de Soignes la! Et en plus je n’avais pas encore essayé les pédales automatiques en tout terrain. Donc un petit tour rapide en FDS s’impose en ce dimanche matin!

Départ habituel, nous faisons une partie de la Nero route et improvisons. Les pédales fonctionnent bien, je ne pers plus les pédales! Par contre j’ai comme la sensation d’avoir la jambe tirée, principalement au niveau du genoux, lorsqu’on passe sur des bosses…

Par entièrement convaincue donc.

60,44 km * 18,05 km/h

Un peu couvert et aéré.

Voila ce qui s’apelle passer une bonne nuit. En tout cas pour moi. Il fait plus frais, mais beau, ce qui nous incite de nous lever tot malgré la folle fin de soirée à la buvette du camping (lol). Lever à 7h30 et prêt à démarrer à 9h30 on peut franchement mieux faire je crois!!!

Le camping étant sur les hauteurs, on va descendre, forcément. Et c’est parti, on ne pédale quasi pas pendant 4km, c’est cool ca! Ensuite forcément on remonte. On croise plein de cyclos, il faut dire que la région est idéale pour rouler. Ca monte et ca descend, tout ca dans de jolis paysages.

La campagne brabançonne
La campagne brabançonne

Malgré quelques attaques énervantes de moustiques, nous passons une bonne matinée, en roulant à bonne allure malgré le relief, et arrivons à Gaasbeek pour midi. A partir de la nous connaissons le trajet, on est en terrain connu!

Les kilomètres qui nous séparent de Halle filent littéralement et nous devons déjà nous séparer de nos compagnons de route! Nous terminons donc à 2 avec un trajet qu’on commence à connaitre par coeur! Nous retrouvons notre parc Duden sous les eaux et encouragés par des jeunes au parc nous traversons une énorme flaque d’eau, que nous ne pensions pas si profonde! Mon dieu quelle aventure!

43,76 km * 14,80 km/h

Orage le matin, mais une fois passé, à nouveau très très chaud.

Réveillés par la pluie et le tonnerre après une nuit loin d’être exceptionnelle, nous trainaillons à partir à cause du temps maussade. Il fait tout gris il pleut, assez fort en plus, et le moral de la troupe n’est pas au meilleur!

J’ai un peu mal partout et je sens que mes jambes ne sont pas très fraiches… Ca commence bien! Finalement on se dit qu’il faut bien partir à un moment et on profite d’une accalmie pour secher et replier nos tentes. Finalement une fois prêts, les nuages se dispersent et le soleil est de retour. Et ca cogne. Je sens sur mon cuissard noir le soleil qui tape de plus belle.

Nous quittons le camping vers 11h40 (hum hum) en route vers Ellezelles, et la les jambes pas en forme vont en prendre pour leur grade…

Mais on est completement largués... attendez-nous!
Mais on est completement largués… attendez-nous!

A Ellezelles, nous mangeons un « homemade » sandwich vu qu’on ne trouve pas grand chose d’autre… Et après avoir un peu trainé il faut bien repartir surtout qu’on a roulé que 13km pour l’instant (si je me souviens bien – de toute façon pas grand chose!).

Nous voici donc à la recherche du LF6 qui nous amènera à Geraardsbergen. Nous pensions rejoindre un préravel qui devait nous y amener mais on l’a jamais trouvé, ou bien peut-être que oui mais on ne s’en est pas rendu compte. Ce qu’on a bien compris par contre c’est pourquoi on apelle cette région le pays des collines… Nous croisons le beau vélo de Ravel et ses dizaines de participants. Après quelques balbutiements nous rejoignons enfin notre cher LF6.

Un joli petit moulin
Un joli petit moulin

Nous atteignons les étangs de Geraardsbergen où je fis il y a quelques années de la planche à voile… Haa que de bons souvenirs… 🙂 Ensuite nous nous perdons, ayant loupé une flèche du LF6, car elle n’était plus la (ha!!), décidons de dégringoler, car tout ce qu’on vient de faire pour rire est une érnooooooooorme montée, sur Geraardsbergen, à vive allure d’ailleurs, buvons un verre (encore) sur la grand place où les gens veulent absolument nous envoyer faire la montée du fameux mur! Heu avec la Bob et dans l’état où on est, non merci une prochaine fois, c’est sur!

Nous achetons de quoi manger pour le soir chez un chinois et prenons le LF38 pour retourner aux etangs via la Dendre et reprendre le LF6 et tourner au bon endroit cette fois! De la nous nous retrouvons au pied du fameux Bosberg et au somment le camping. On monte la tente, on commence à manger et on a juste le temps de sauter dans notre tente pour terminer de manger car un orage carabiné vient d’éclater! La tente tient le coup et nous permet même de s’habriter à 4 dedans… Une fois l’orage passé, nous mettons le pied dehors et la on a frolé la noyade, le terrain tellement sec n’ayant encore rien bu!

93,42 km * 18,07 km/h

Super chaud dès le matin

Ca y est, cette fois on y est à ce fameux week-end de fête nationale qui va nous permettre d’avaler plein de kilomètres! Lever à 6h30, on déjeune copieusement avec un poridge qui tient bien au corps. On rassemble nos affaires préparée la veille et préparons de bonnes rations d’eau bien fraiche.

Ca parait court raconté comme ca, mais nous partons tout de même avec 30 minutes de retard par rapport à notre planning… Et nous voila enfin en route. J’arrive à mettre mes cales de façon étonnante et nous démarrons sous un soleil radieux. La journée va être très chaude. J’avais entendu qu’il pleuvrait le matin mais ce n’est absolument pas le cas! Ciel bleu dégagé et soleil qui donne déjà bien.

On commence par une belle descente qu’on connait bien et en route vers le canal, direction Ronquières ou nous avons rendez-vous avec nos 2 camarades! Il fait déjà très chaud, et nous avons le vent de face, mais celui ci étant très faible, ca ne nous handicape pas vraiment. Une fois arrivé à Ronquières nous quittons le canal pour rejoindre le RV6 tout fraichement fléché. Ca commence fort, ca monte, et ca monte bien! Nous nous retrouvons assez vite dans des campagnes d’où nous avons une très jolie vue.

Nous atteignons Soignies en nous étant perdu quelques fois, mais rien de grave. La nous cherchons un petit resto pour manger. Tout le monde nous envoie à la friterie! Soit on a des têtes de mangeurs de frites, soit il n’y a que ca d’ouvert! Finalement on trouve une petit resto italien où on mange des pâtes, ce qui est quand meme mieux que des frites, surtout après l’effort qu’on vient de faire.

Nous quittons Soignies en direction d’Ath, en faisant un petit crochet par Neufvilles. Ce sont les heures les plus chaudes et dans la campagne il fait vraiment très très chaud. Merci Delphine et Christophe pour l’eau!

en route vers Ath!
En route vers Ath!

Ath n’est pas encore la porte à côté mais nous y arrivons assez vite. A nouveau nous nous désaltérons et nous rafraichissons en nous mettant à l’ombre. Nos compteurs indiquent déjà beaucoup de kilomètres, et pourtant nous n’optons pas pour le chemin le plus court jusque Wodecq! On choisi de suivre la Dendre pendant quelques kilomètres pour ensuite bifurquer vers notre première halte.

Finalement j’aurais peut-être préféré un trajet plus court. J’arrive assez fatiguée au camping!

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