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Destination choisie "Belgique"

68,70km – 4:22:46 – 15,71km/h – 591m D+

Nous débutons la journée avec le petit déjeuner à l’auberge. Ce dernier est un peu spécial, Covid oblige. On commande derrière un plexi à une charmante employée qui nous prépare notre plateau. Ce voyage ne sera pas comme les autres. Et point de vue mesure Covid, on aura l’occasion de goûter à toutes les interprétations locales…

Pour ce premier jour off, on a choisit de faire une balade autour de Namur. On s’éloigne de Namur sur le halage de la Meuse, direction Wépion. On le quitte assez vite pour monter sur le plateau. La route est sympa, la vue est belle, le soleil nous accompagne… mais ça monte !

On se déroute quelques instants de notre tracé pour aller voir le point de vue de la Sibérie… Un peu plus loin, on emprunte un chemin de terre qui traverse un bois. Un chemin qui s’avèrera être de niveau VTT. On débouche dans une clairière…

Notre boucle passe par Bioul, magnifique village tout de pierre, où nous nous arrêtons pour acheter des couques. Miam.

Rue des Montis, Maredret

On file en direction d’Ermeton-sur-Biert, avant d’obliquer vers Maredret. De loin, on voit les clochers des abbayes de Maredret et Maredsous. Le chemin traverse les champs en nous offrons des vues magnifiques.

Rue des Montis, Maredret ; à l’avant-plan, un élevage de volailles

Arrivés à Maredret, on rejoint le Ravel 150 qui va nous permettre de redescendre vers la Meuse. Nous faisons bien sûr un petit arrêt à l’abbaye de Maredsous, renommée pour sa bière et son fromage. Attention, pour la rejoindre, il faut quitter le Ravel et escalader la route en direction de l’abbaye. La route n’est pas fort large et plutôt sinueuse. Certains automobilistes n’hésitent pas à faire courir de gros risques à tout le monde en tentant des dépassements hasardeux.

Arrivé sur place, il y a du monde ; la terrasse (heureusement largement dimensionnée) est pleine !

Maredsous Extra et Maredsous blonde

Il faut dire que le soleil brille !

Une fois nos tartines et bières avalées, nous redescendons la Molignée par le Ravel. A l’arrivée sur la Meuse, la météo change… Le ciel se couvre, alors que le soleil continue de briller.

La Meuse, à hauteur de Anhée

A partir de là, il n’y a qu’à remonter la Meuse pour rejoindre l’auberge de jeunesse. On ne coupera pas à quelques petites gouttes, et surtout un bon vent de face. On a le temps d’arriver à l’auberge avant que les vannes du ciel ne s’ouvre : on a échappé au plus gros !

Namur, le pont de Jambes

En soirée, on rejoint le centre de Namur à pied pour aller manger. Il pleuvine, mais la lumière est très belle. On traverse l’écluse de La Plante pour remonter la Meuse par l’autre rive, histoire de changer de point de vue et de jeter un oeil au resto de Jambes.

On rejoint le Grognon par la passerelle piétonne qui est en cours de réalisation, avant de filer vers les restos. L’ambiance est totalement différente de la veille. C’est dimanche soir, il y a peu de monde et une bonne partie des restos sont fermés. On trouve notre bonheur chez Ogawa, un excellent japonais.

Via le RV10, 80,43km – 4:58:50 – 16,14km/h – 530m D+

En cette année 2020 un peu particulière, marquée par la crise sanitaire du Covid19, nous avons décidé de réaliser un tour 100% belge, et plus précisément wallon ! Nous l’avions déjà fait en 2011, ça tombait donc très bien de réitérer cela 9 ans après. Cette année, pas de camping : on logera à l’hôtel ! Pour soutenir l’horeca local, et aussi pour alléger nos sacoches !

On a tracé une grande boucle à travers les Ardennes belges, en suivant globalement les RV (itinéraires Rando-vélo). Nous avons aussi opté pour un voyage un peu plus lent, ou plutôt avec moins de kilomètres. En restant en moyenne deux nuits à chaque endroit, nos jours « OFF » seront agrémentés par une balade en vélo dans le coin, de la randonnée à pieds, ou du repos.

Départ relax samedi matin peu après 10h. On s’arrête chez Julien Hazard affineur pour prendre des sandwiches. On se met ensuite en route sur le RV10. Nous l’avons déjà parcouru quelques fois, mais beaucoup de choses ont changé ces dernières années.

Vélo en forêt de Soignes
Départ par la forêt de Soignes

On quitte Bruxelles sous un ciel très gris, température fraîche de 13°, mais nous restons néanmoins en maillots manches courtes. C’est tout juste, mais pas désagréable !

Genesis Croix de Fer, sacoches Vaude Front, top case
Genesis Croix de Fer, sacoches Vaude Front et top case

Nous débutons par un trajet assez habituel par la forêt de Soignes (où Michel se rend vite compte que le bruit qu’il avait sur son vélo ne provenait pas de sa roue avant dynamo qu’il a changé avant de partir, mais visiblement plutôt de sa roue libre… espérons que ça tienne le choc, on a déjà terminé un voyage en fixe sur le tandem… chaud chaud !) et rejoignons rapidement La Hulpe et son château. De là nous rejoignons le lac de Genval, un peu tristounet sous ce ciel gris, mais ça reste beau!

Un peu après Rixensart, il se met à pleuvoir et nous mettons notre veste de pluie, que l’on ne gardera pas longtemps : on la retirera avant d’entamer la montée vers Louvain-la-Neuve. Nous passons à Wavre derrière Walibi sur des routes très campagnardes, le contraste est amusant avec le boulevard de l’Europe que nous venons de traverser…

Nous mangeons notre sandwich à LLN (sur le Verte voie) dans un petit verger. Quelques rayons de soleil viennent nous réchauffer très agréablement. La météo hésite encore un peu à vraiment basculer sur « beau ». Mais les quelques gouttes de pluie qui tombent par moment ne peuvent pas gâcher le plaisir d’une baguette au Comté réserve.

Entre les provinces du Brabant wallon et de Namur

Nous reprenons la route, traversons d’agréables chemins campagnards (le RV 10 chevauche souvent l’EuroVélo 5) pour enfin rejoindre le Ravel à Daussoulx (ligne 142) qui nous amènera rapidement à Namur. L’arrivée dans Namur a été aménagée et s’effectue en douceur : un grand virage à droite, un passage dans par un souterrain, et nous voilà le long de la Sambre.

Namur, la Sambre
Notre arrivée à Namur, le long de la Sambre

Nous logeons à l’auberge de jeunesse située à La Plante, très agréable quartier de la capitale wallonne. L’auberge est située dans une splendide villa mosane. L’accueil est très sympa et le cadre super agréable. Il y a un parking vélo couvert et fermé à clé, ce qui est un point important pour les cyclo-voyageur. Nous logeons malheureusement dans l’annexe : les bâtiments plus modernes, fonctionnels, n’ont pas le charme de la villa.

Namur, la Citadelle
Namur, la Citadelle

Après une bonne douche, nous partons vers le centre-ville où nous retrouvons mon frangin pour aller manger. Samedi soir : les restaurants sont pris d’assaut ! Après un verre au Barnabeer, nous allons manger chez Mykonos. Roboratif et bon.

Namur, la Meuse
Face à l’auberge, la Meuse (écluse de La Plante)

56,75km – 3:38:05 – 16,62km/h

Réveillées vers 7h30, nous voulions prendre le petit déjeuner à Heimbach. On pensait que ce serait possible, mais en fait pas vraiment… On opte donc pour 3 couques et un ChocoMilk consommé dans le parc le long de la Ruhr.

On entame la route et sommes étonnés de la montée qui nous attends rapidement. Nous découvrons par la même occasion un tout nouveau village de vacances avec des bâtiments style « à colombages ». L’ensemble, énorme, est plutôt laid dans cette environnement naturel.

Nous avions prévu de faire le tour du Rursee par le haut (ou le nord), mais finalement on fait comme d’habitude. Le chemin est toujours aussi sympa mais nous n’avions pas souvenir de quelque chose d’aussi vallonné. Au barrage, on se décide pour la route direction Simmerath. On commence une longue ascension régulière (moyenne de 7,2% tout de même) et arrivons lentement mais sûrement au sommet.

Nous assistons à une défilé de motards sur la route tandis que nous longeons un bon nombre de stelles placées à la mémoire d’accidentés de la route le long de la piste cyclable… A Simmerath, nous prenons la direction de la Vehnbahn sur une route assez grosse bien fréquentée, mais à nouveau dotée d’une belle piste. Le bonheur est total lorsque nous la quittons et commençons à rouler sur la Vehnbahn! Les paysages sont en plus très beaux. On aimerait revenir avec les vélos de course…

On dégringole jusque Raeren et suivons ensuite les panneaux indicatifs vers Eupen. Nous arrivons à la gare à 13h40 ce qui nous permet de prendre le train de 14h17 direction Bruxelles!

76,07 km – 4:51:03 – 16,28 km/h

Départ relax vers 10h30 après avoir ajusté les sacoches de Bri et un peu chipoté avec la sangle qui maintient le sac rouge au-dessus des sacoches. On devra d’ailleurs s’arrêter devant la Cathédrale Saint-Michel et Gudule pour refiler tout ça 😉 on dirait qu’on a plus trop l’habitude. D’ici quelques jours, on aura retrouvé la main!

Cette année nous nous sommes décidés pour une parcours un peu en dernière minute sur base de villes que nous souhaitions découvrir depuis quelques temps (Utrecht, Münster, Wuppertal,…). Quoi de mieux que de les relier à vélo afin d’en parcourir les alentours et peut-être en comprendre mieux l’histoire. Nous voici donc en route pour un millier de kilomètres au départ de chez nous et à travers trois pays, la Belgique, les Pays-Bas et l’Allemagne.

Petite photo souvenir des vélos devant notre immeuble avant de partir sur mon chemin de tous les jours. La météo est un peu nordique; le soleil chauffe fort, mais le vent ONO est bien frais!

Au menu du jour: nous allons suivre le canal direction Vilvoorde, ensuite la Senne via Zemst puis le Rupel en passant par Boom (passage en petit bateau pour traverser le Rupel), puis Niel et enfin Anvers. Le parcours est plat (160m de D+) et les paysages sont très beaux. Bri qui avait peur que cette étape ne soit pas très bucolique est très agréablement surprise! Le soleil et le ciel nuageux subliment les paysages et intensifie les contrastes. Nous nous retrouvons parfois face au vent mais il n’est jamais handicapant.

Nous alternons en suivant les points noeuds en quittant Bruxelles et rejoignons les LF2 qui vient de Leuven et Mechelen. Le parcours cyclable entre Zemst et Boom est vraiment super, très beau et super agréable. On se promet de revenir, c’est tellement proche de nous, pourquoi s’en priver.

Lorsque nous arrivons aux alentours d’Anvers, il y a d’abord une approche un peu industrielle (traversée de zoning pas super sexy) et nous re-voila le long de l’Escaut (que nous avons déjà longé quelques kilomètres plus haut). On doit prendre un tunnel pour traverser une assez grosse route et je pense être maline en sautant dans un ascenseur qui en fait descend sous l’Escaut pour aller de l’autre côté 🙂 Demi-tour, on remonte et nous voici sur le quai Plantin que nous connaissons. La piste cyclable est en travaux, nous prenons la route et pas la déviation compliquée qui envoie surement sur les pavés. Hé bien ça ne plait pas à certains automobilistes qui nous klaxonnent!

Nous filons vers le Nordkasteel où se trouve notre camping; le Kontiki! Il s’agit d’un camping baba-cool éphémère un peu à l’écart de la ville. Nous arrivons en pleine séance de mariage! C’est une première ça 🙂 Quand on finit de monter la tente, la cérémonie se termine et les invités se repartissent un peu partout pour boire un verre et discuter.

Après une douche (dans une petite cabane peu improvisée), nous partons en ville manger. Nous choisirons le café Bacchus — beaucoup d’autres possibilités sont fermées. Bri prend le bolo (énorme) et moi les pâtes maison (un peu rikiki). C’est bon. Bri goûte la Bacchus et n’est pas séduite et moi je prends une gueuze.

Nous faisons un peu de shooting autour du MAS (le concours de saut à la perche sur l’Escaut est terminé). La lumière est top. Retour au camping, on se lave les dents et on se couche… et il se met à pleuvoir!

 

Pluie depuis le matin. Notre tente prend un peu l’eau…

20150827-DSC_6299
20150827-DSC_6295Ahrweiler

Nous allons aux thermes à Bad Neuenahr après avoir pris notre petit déjeuner dans une boulangerie/salon de thé où nous avons mangé un pain aux raisins et sucre entier avec café et chocolat chaud!

Les termes sont à 3 km à pied du camping. Les installations sont très chouettes. Surtout le sauna, avec sa partie extérieure. Nous avons loué serviette de bain et peignoirs. Le midi nous mangeons à la cafétéria; un bagel au saumon pour Mi et le salad bar pour moi.

Nous rentrons au camping pour récupérer la batterie de recharge pour téléphone. Ensuite nous passons la soirée au Weingut Coels à Ahrweiler où nous dégustons les vins rouge de l’Ahr dans le bruit des bouchons qui sautent! Nous sommes arrivés tout trempés et séchons petit à petit. Je prends un LACHS, vin blanc de noir « feinherb » très doux. Pour manger, nous commençons avec un Weinkäse pour grignoter, puis suivent une flammekuche lard/fromage et un Wingerteller.

Le patron oublie notre commande et pour se faire pardonner du retard ne comptera pas les plats dans la note!

Nous sortons du Weingut un peu rond. Il pleut toujours et il pleuvra encore toute la nuit!

114,25km – 687m D+ – 7:42:06 – 15,27km/h

Départ de Roermond vers 9h30/9h45. Du camping au centre ville, nous traversons le bras de meuse qui est très joli. On cherche un peu le départ du RUR-radweg qui n’est pas balisé en ville. Boah on commence à avoir l’habitude!

20150825-DSC_6250La meuse

20150825-DSCF2637La Ruhr en son embouchure…

On s’aide des points vélo (encore) pour se mettre sur le chemin et on fini par trouver une plaque! Le temps est venteux et il tombe quelques gouttes. Mais la pluie cesse vite et nous roulerons la journée au sec.

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La remontée de la Rur se fait quelque fois dans les champs, sous les arbres, et comprend également de longues lignes droites.

A l’approche d’Heimbach, le paysage change subitement. Il devient beaucoup plus vallonné et plus forestier. Malgré la fatigue accumulée avec les nombreux kilomètres effectués, nous apprécions grandement cette fin d’étape et nous jurons de revenir la faire en vélo de course.

20150825-P1070100et la Rur à Heimbach!

Nous arrivons crevés au camping à passé 20h. Il n’y a bien entendu plus personne.
Heureusement nous connaissons la maison et allons nous installer sur l’espace réservé aux tentes en bas, près de l’eau. Nous hésitons à aller manger « en ville » mais notre hésitation est de courte durée lorsqu’il se met à pleuvoir. Nous nous réfugions dans la tente et cuisinons depuis l’intérieur de la tente.

21,41 km – 1:12 (Venise)

Départ de l’hôtel vers 7h15 après le check-out. On refait le trajet vers la gare en sens inverse, toujours vélo à la main. A cette heure-ci, il n’y a presque personne en ville. Le temps est beau et la lumière magnifique.

On passe le pont Calatrava au-delà de la gare, pour rejoindre la route qui va nous permettre de quitter Venise. Très vite, on est sur le pont qui relie la lagune au continent. C’est une route à deux fois deux bandes ; les voitures et les bus ont donc la place pour nous doubler au large…

A suivre les panneau « aeroporto », on finit par se retrouver au début de l’autoroute ! On est allé trop loin sur la grand route, il fallait prendre à droite un peu avant pour rejoindre l’aéroport. On fait donc demi-tour en on emprunte la via Triestina. On retombe sur la route qu’on aurait du prendre, puis l’aéroport est là assez vite…

Prochaine étape du jour à la sortie de l’aéroport de Zaventem

Depuis l’aéroport, on trouve rapidement la piste cyclable, indiquée. Un peu d’hésitation dans Zaventem, mais on est rapidement sur la piste du bd de la Woluwe… Retour par W-St-Lambert, Etterbeek, assez sympa d’ailleurs. Cela nous donne une nouvelle possibilité pour rejoindre l’aéroport, pas forcément évidente à première vue!

46 km – 3:23:47 – 14,42 km/h – 43,5 km/h max

Aujourd’hui départ à 10h30 pour une boucle VTT d’environ 50 km au lac de Plansee.
A la sortie de Lermoos, notre boucle fait route commune avec le circuit vers Garmish-Partenkirchen. Après avoir traversé la voie ferrée, on prend un petit chemin parallèle à la route, en légère descente. On roule dans la forêt, le long de la rivière. A un endroit, le chemin a été emporté par l’eau ! C’est hyper roulant et très agréable.

Un peu avant Greisen, notre circuit prend à gauche. Là commence la montée vers le lac. Quelques épingles plus loin, après une vue magnifique sur le chemin qu’on vient de monter et sur la rivière en contrebas, on arrive au bout du lac Plansee. On décide de s’arrêter là pour picniquer. Il n’y a pas de vent et le soleil fait même une timide apparition… On mange le pain avec le fromage acheté au Spar le matin. Pour terminer, un chocolat au lait aux noisettes entières !

Entretemps, un léger vent s’est levé et on commence à avoir froid. On se rhabille donc chaudement pour reprendre la promenade. Tout d’abord sur la route qui borde le lac. Ensuite, après avoir traversé entre les deux lacs par un petit pont de bois, on parcours un très beau sentier parsemé de racines et valonné juste comme il faut. Par endroit, des coulées de pierres rendent le passage dificile… Le deuxième lac, Heiterwangsee est tout aussi magnifique que le premier. La vue est vraiment magique.

On quitte les lacs et on prend le chemin du retour vers Lermoos. On se trouve en parallèle à la route que l’on a suivi hier pour arriver. Mais cette fois, on est de l’autre côté de la route et sur « Panoramaweg ». Il est jalonné de montées et descentes. A un moment, un groupe de vaches occupe le chemin… et elle avancent au fur et à mesure qu’on les rattrape ! On finit par s’en défaire pour terminer à hauteur de Huntergarden par le même chemin qu’hier.

On arrive à l’hôtel vers 16h15. On passe les vélos au jet d’eau. Puis piscine (intérieure et extérieure, avec passage entre les deux), sauna, hammam. Et on est prêt pour aller manger le souper, toujours aussi bon…
Petite promenade vers Ober Lermoos jusque devant l’église et l’hôtel de la Poste… Il tombe quelques gouttes….

La Zugspitze

On commence en descendant
Superbe piste
Ca monte

Au sommet les vélos au repos

Le Plansee
Notre spot pic-nic
Heiterwangersee
Strike the pose!
Au milieu des vaches!

TTTim en mode hivernal!

Nous avons sorti notre tandem de sa phase d’hibernation, phase dans laquelle la quasi totalité de nos vélos non utilitaires étaient rentrés!

Bien habillés, nous voici en route vers la Forêt de Soignes, notre trajet « habituel » en quelque sorte, histoire de se dérouiller un peu les jambes et de s’y remettre! On sent (ou espère) que le printemps est à la porte et les idées de voyages sont bien présentes!

96,89km * 5:00:51 * 19,32km/h * 50,76km/h max

TTTim en version camping sauvaaach

Nous prenons la route du retour après une succulent mais tardif petit déjeuner/crèpes. Nous quittons donc nos valeureux compagnons de camping vers 13h30 et descendons vers la Meuse afin de rejoindre Andenne et de refaire une partie du trajet que nous avons fait l’année passée lors de notre voyage « Wallonie 2011« . Cette partie de Meuse étant très industrielle, elle ne nous avait pas laissé un souvenir impérissable, et le sentiment est confirmé cette fois-ci également.

Sur la Meuse, entre Bas-Oha et Seilles

Une fois à Andenne, après un passage-ravito à la boulangerie, nous attaquons ce qui va être la grosse montée du jour: Andenne – Landenne. La aussi le souvenir est bon, elle est costaude. Nous arrivons en haut en ayant hyper chaud, le soleil nous tapant sur le dos de manière endiablée. Une fois à Landenne, nous sommes sur nos pas de la veille et pouvons quasiment rouler de mémoire sans devoir regarder la carte, ce qui fait du bien à la co-pilote! Le trajet semble couler de source et les hésitations de la veille sont oubliées. Par contre, on se sent moins en forme, peut-être est-ce du à notre courte nuit et aux alcools ingurgités pendant la soirée… 🙂

Nous arrivons toutefois assez rapidement à Eghezée, remontons le Ravel jusqu’à Huppaye et ainsi de suite. Grâce à notre départ tardif, nous ne serons pas du tout embêté par le Gordel qui est déjà terminé et en mode démontage à Overijse.

La faim se fait sentir quand nous arrivons en forêt de soignes, mais il ne nous reste plus qu’une dizaine de kilomètres à faire. Nous arrivons fatigués à la maison, mais la tête, une fois de plus, pleine de super souvenirs.

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