51,95 km * 16,41 km/h – 36,80 km/h
Soleil, nuage et quelques gouttes
51,95 km * 16,41 km/h – 36,80 km/h
Soleil, nuage et quelques gouttes
on a oublié le compteur, deuxième! On remet ça!
Froid
on a oublié le compteur!
soleil et gadoue
24,01 km * 17,74 km/h
Vent, pluie et éclaircies
Le temps nous manque presque… On ne peut pas partir trop loin. On se décide donc pour le trajet du vendredi, mais fait à l’envers.
Une fois parvenus sur la digue, à nouveau malgré le vent, la tentation est trop forte à la vue de la mer à marée basse. On var rouler sur la plage !
On traverse le sable mou à pied, puis on se lance. Les premiers mètres sont pénibles : il faut parvenir à gagner de la vitesse sur une surface mi-molle sans s’enfoncer dedans. Pour nous aider dans l’exercice, nous avons le vent de trois-quart dos (et les embruns qui vont avec, évidemment). C’est très chouette en tout cas de rouler ainsi sur le sable. On double de rares joggueurs et quelques promeneurs. On ira ainsi jusqu’à Oostduinkerke.
On enchaîne par le LF1 vers La Panne. Surprenant comme le fait de prendre un chemin en sens inverse peut modifier l’experience qu’on en a ! En cours de route, le ciel se dégage un peu. Le soleil fait une timide apparition et les couleurs du paysage s’illluminent enfin ! Puis la pluie tombe à nouveau, mais qu’importe.
On range le TTT à regret. Trop court ce WE !
32,56 km * 16,71 km/h
Ciel couvert et menaçant ; le vent est toujours là !
Pour ce samedi matin, nous avons de l’ambition : on part direction Adinkerke vers les 51 km de la Cobergher route (quelques infos ici)
Pour ce début de balade, le vent nous pousse gentiment dans le dos. Le compteur s’affole, les kilomètres filent. A peine le circuit entamé à Adinkerke, il faut qu’on s’arrête pour que je puisse retirer le pull… Il fait 11°, maillots manches longues et gilet coupe-vent suffisent largement ! La route Cobergher s’enfonce dans les polders côtiers. Le tracé est du genre rectiligne ; normal, il suit les routes et leur cadrillage régulier.
Fatalement, le parcours finit par changer de direction… et nous nous retrouvons face au vent. Cet à ce moment que le ciel se déchire et nous fouette de son eau fraîche. Personnellement je n’ai pas froid, pourtant. Il faut dire qu’on pédale pour lutter contre le vent !
N’empêche ; entre la pluie, les rafales vent, les longues lignes droites monotones et les paysages en noir et blanc, on décide assez vite de renoncer à notre projet et de sauter directement sur le programme réservé à l’après-midi. On se rapproche donc directement du circuit VTT Bloso qu’on imagine plus abrité du vent. Ce sera effectivement le cas. Par contre, les passages dans le sable ramolli aura raison de notre persévérance. Entre-temps, la pluie s’est arrêtée. On rentre manger après un détour au marché…
23,34 km * 16,53 km/h
Ciel couvert et vent à décoiffer un chauve
Vendredi inhabituel puisque nous partons à la mer pour le week-end !
Après s’être installé dans notre appartement de location, nous sortons le TTT de la voiture pour une balade dans le vent. L’appart’ se trouve pratiquement sur la trace du LF1 « Noordzeeroute », et c’est tout naturellement que nous suivons celle-ci direction la Norvège, ou, plus près de nous, Oostende. Voilà qui nous rapelle quelques bons souvenirs d’août ’06, lorsqu’un WE itinérant nous avait déjà conduit sur le même chemin.
L’architecture Art Déco typique de la région se laisse admirer, même s’il faut convenir qu’à certains endroits, le meilleur cotoie le pire…
Le vent est présent, mais il faut reconnaître qu’en ce début de sortie, on l’aurait plutôt de dos ; quoique la trace du LF1 nous permette de rouler à l’abri du vent… et donc sans son aide. Le ciel tout gris ternit un peu les couleurs…
St Idesbald, Coxyde, Oostduinkerke…. Là, la route en Macadam disparaît sous une dune.
Le vent s’est littéralement mis en travers de notre route…
On décide de rentrer « par la digue ». Plus on se rapproche de la mer, plus les rafales de vents sont fortes. Particulièrement dans les rues perpendiculaires qui rejoignent la digue. Ca et là des congères de sable se sont formées. Nous en pourrons pas toutes les passer sur le vélo : elle sont bien fraîches, bien molle. Inutile de préciser que nos pneus s’y enfoncent comme dans du yahourt.
Le soleil couchant donne enfin un peu de vie au ciel, et le coup d’oeil au sud-ouest n’est pas déplaisant. Duinkerke se détache à l’horizon. On gardera les yeux braqués sur la fin du jour pour ne pas souffrir l’architecture discutable de Coxyde, sa digue, ses monuments au mauvais goût…
Ouf ! On rentre avant la nuit…
34,16 km * 17,73 km/h
Soleil
Sortie « habituelle » (peut-on encore utiliser le mot alors que les opportunités nous manquent pour parcourir la forêt) en forêt de Soignes…
50,59 km * 15,10 km/h
Soleil
Journée sans voiture ou presque, nous découvrons les rues de notre commune voisine dans un calme bien appréciable. Petits passages on ne peut plus sympa en forêt de Soignes, un peu du parcours Bloso en vtt, puis retour à Uccle pour rouler avec Vincent et Laure! Avec eux, nous partons vers Linkebeek, où nous mangeons des crèpes et des glaces bien méritées!
36,50 km * 17,46 km/h
Soleil
Après une semaine et demi en forêt noire, nous retrouvons la forêt de Soignes et ses gentilles côtes. On retrouve les joies du vtt avec quelques beaux petits passages techniques! Le bonheur!
62,51 km * 18,53 km/h
Soleil
Après un bon petit déjeuner copieux nous démarrons notre dernière journée. Il fait beau et chaud, mais nous ne savons pas trop le chemin à suivre, et en ville avec une 150 000è, c’est un peu difficile. On cherche et on se trompe, on tourne en rond pendant un moment. Et enfin, on passe sous l’autoroute! C’était un de nos premiers point de repère. On traverse un joli bois tout plat (!) ou se baladent et jogguent des gens. On espère rejoindre le Rhin au plus vite, car notre but est d’arriver en début d’après-midi à Strasbourg, dans l’espoir d’avoir un train pour Bruxelles dans la journée.
Rheinbischofsheim
Après quelques hésitations, nous tombons enfin sur la « véloroute Rhin » et sommes étonnés car nous ne roulons pas le long du rhin, mais en bas de la butte. On décide donc de monter pour rouler le long de l’eau, pour devoir redescendre un peu plus loin car la route est interdire au vélo et marcheurs. Après quelques kilomètres de route asphaltée absolument sublime où on a réussi à tenir du 32km/h sans (trop) se forcer, nous nous retrouvons finalement le long de l’eau.
A défaut de rouler dans des paysages sublimes, comme nous en avons pris l’habitude, on peut rouler à une vitesse décente. C’est toujours ca! L’arrivée sur Strasbourg ne restera pas gravée dans nos mémoires, d’abord le Rhin qui est tout à fait industriel à cet endroit, puis Kehl, notre dernière ville Allemande et enfin Strasbourg qui s’annonce comme ayant « un vélo d’avance ». C’est vrai qu’ils ont fait des efforts pour mettre des pistes cyclables partout. Mais elles sont sur les trottoirs, parfois étroites et qu’on doit emprunter dans les deux sens… enfin bref on est pas convaincu. La gare est malheureusement de l’autre côté de la ville et on fait quelques kilomètres dans ces conditions. Nous arrivons à la gare vers 13h et nous voyons que le train est à 14h26. Impeccable!
Il ne me reste plus qu’à convaincre les vendeuses SNCF que oui on peut transporter un tandem dans ce train, vu qu’on l’a fait à l’aller! Tout ca prend un peu de temps, et le temps d’acheter de quoi manger et de quoi lire dans le train, on nous annonce enfin le quai de départ! Les employés SNCF sur le quai ne sont pas plus au courant que les vendeuses et nous devons courir sur lquai pour rattrapper la voiture-vélo et avons juste le temps de tout embarquer avant que les portes ne se ferment!
Dans le train
Voyage sans encombre et retour à Bruxelles, on nous retrouvons une jolie petite côte pour retourner chez nous!