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Posts by: "Addicted2"

62,66km * 3:27:35 * 18,11km/h * D+ 790m

Après un bon petit déjeuner à l’hôtel et avoir admiré la brume au loin sur le paysage, nous récupérons notre attelage dans le grand parking un peu austère de l’hotel.

La vue depuis l’hotel est splendide!

Et nous voila reparti. Nous commençons pas des petites routes dans la plaine de Morteau. Il fait beau et le paysage est très agréable. Sans balisage ce n’est pas évident de voir quel chemin nous devons prendre et nous nous emmelons un peu les roues 🙂 sans grande conséquence, nous retombons sur notre route un peu plus loin.

Après la plaine, un peu de montée. Comparé à ce qu’on a monté hier à la corniche de Goumois, rien de bien terrible! La météo est parfaite, il fait beau mais pas trop chaud ce qui nous permet de monter sans trop de peine.

Les routes sont sympas; peu de trafic, d’agréables paysages. Nous pic-niquons sur la voie verte qui nous amènera vers Pontarlier. La vue est superbe et il fait très chaud. La traversée de Pontarlier est un peu difficile, on ne sait pas à priori où on doit aller et le trafic est dense. On parvient finalement à trouver la départementale que nous devons suivre. Heureusement que celle-ci a une piste cyclable car le trafic y est énorme.

On avance sous le soleil sur des routes super chouettes!

La piste cyclable est roulante et nous voila bientot en vue du lac de saint-point. Il fait tellement chaud que je rêve déjà de la piscine du camping! Le lac est magnifique avec cette météo estivale! Nous contournons le lac par la gauche et arrivons à Malbuisson milieu d’après-midi. Le camping est situé 1km après le village. Nous arrivons devant l’entrée du camping en même temps qu’un autre cyclotouriste. En discutant après avec lui, il nous raconte qu’il vient d’Australie et compte faire 3 massifs français, à savoir le Jura, les Alpes et les Pyrenées! Il est en route pour 3 mois le veinard!

Le point de vue sur le lac de saint-point depuis la route.

Nous nous installons sur un emplacement avec vue sur le lac et je vais tremper les pieds dans le lac car la piscine est fermée… 3 jours plus tôt il faisait 5° le matin! Ca doit à peu près être la température de l’eau également!

Nous profitons de la vue et nous rendons jusqu’à Malbuisson par le sentier du lac, très sympathique même si infestés de moustiques! Malbuisson ne propose pas beaucoup d’attractions et nous avons vite fait de faire le tour et d’apprendre par coeur les cartes des 3 restaurants ouverts ce soir! Nous nous décidons pour le restaurant du fromage après un catastrophique verre (une bière du Jura chère et pas bonne, mal servie avec une assiette de fromage tout aussi mal servie) au bar de l’hotel du lac.

Le restaurant du fromage est correct parait bien pâle comparée à notre expérience de la veille! Un fou-rire incontrolé du capitaine mettra un peu de piment dans la soirée 😉 Retour au camping par le même sentier du lac.

59,66km * 4:36:19 * 12,95km/h * D+ 1200m

Nous ouvrons les yeux dans notre petite tente igloo après une nuit plutôt pluvieuse, mais à présent la météo à l’air plus clémente. J’aperçois même un bout de ciel bleu par la petite fenêtre! Si il pouvait faire beau pour notre ascension de la corniche de Goumois, ce serait bien!

Douche, petit dej porridge au camping, le temps de replier notre matos et voila qu’il fait splendide et torride; mon thermomètre – placé en plein soleil – annonce 35°!

Nous nous mettons en route tout guillerets pour attaquer cette belle ascension qui nous attend! Il nous faut donc remonter tout ce qu’on a descendu la veille depuis l’église de Goumois, qui est située très en hauteur par rapport au village.

Ca monte mais la côte n’est pas trop dure. On se retrouve rapidement à l’église, d’où on a déjà une très belle vue. Nous quittons à présent la route que nous connaissons pour partir de l’autre côté. Après quelques kilomètres de montée, nous voici déjà à la portion de route que nous voyions depuis le village et qui offre une vue plongeante et superbe sur Goumois et toute la vallée.

L’impressionante vue depuis la corniche de Goumois

On se fait doubler par des vélos de course et dans un sens on les envie grandement! Ils ont l’air d’avoir si facile! Nous, avec notre tank et notre remorque c’est autre chose 🙂
On mange au col de la vierge sur un « banc avec vue » au soleil! Saucisson d’âne, compté et pain acheté à Goumois. Quel régal.

On enchaine avec la plus forte côte de la journée vers « La montée ». Ca porte bien son nom rien à dire. Mon altimètre m’annonce des passages à 17% et on tourne dans les 14 en moyenne. Ceci est à nouveau une variante de la GTJ, mais cette côté vaut la peine d’être montée car les paysages traversés ensuite sont magnifiques!

On redescend ensuite vers Charquemont. Plus loin nous prenons à nouveau la variante qui nous permet de voir le barrage du Chatelot. Nous avons hésité un peu avant d’y aller car cela réprésentait descendre puis remonter! La descente en forêt est humide et tout ça salit notre beau tandem! La descente qui nous avait parue très forte ne nous parait pas si dure en montée finalement. En tout cas elle nous parait presque courte!

Mélange de pluie et de soleil à Morteau

Nous recontrons encore de belles montées avant d’entamer la fabuleuse descente vers Morteau! Une fois en ville, nous nous rendons directement à l’hotel où nous avons réservé une chambre. Après une douche et un peu de stretching, nous partons à la découverte de la ville. Nous essuyons une averse incroyable où nous ne voyons pas de nuages et où il fait ensoleillé! Nous repérons directement un restaurant qui à l’air très prometteur et nous revenons devant la porte à 19h, affamés. Et on ne s’est pas trompé; le restaurant Jacques Alexandre vaut définitivement la visite. On y bois un Arboy blanc délicieux et les 3 services sont extras pour un prix plus que correct. Quelle belle soirée. Le service est parfait même en étant relativement débordé vu que la salle est pleine.

Retour à l’hotel pour une bonne nuit de repos!

71,39 km * 4:35:59 * 15,52km/h * D+1120m

Après un copieux et délicieux petit déjeuner à l’hotel, nous replions tout notre matériel et nous mettons en route pour faire la première étape de la GTJ (Grande traversée du Jura) qui nous amènera à une petit village à cheval sur le Doubs, qui à cet endroit-là dessine la frontière entre la France et la Suisse.

Il fait gris et la météo annonce des averses. Il a bien plu pendant qu’on mangeait et un timide soleil se fait voir pour notre départ, nous partons donc optimistes!

3 jours avant le départ j’ai compris que la GTJ n’était pas balisée du tout. Enfin uniquement sur quelques tronçons – qui s’avèreront en fait n’être que quelques panneaux sur tout le parcours. Nous avons tout retracé sur nos cartes 100 000è, et à part en ville on ne devrait pas trop se perdre. La sortie de Montbéliard n’est pas évidente, mais finalement en suivant les pistes cyclables, on part déjà dans le bon sens et on rejoint notre itinéraire après Audincourt tout cela via des chouettes pistes quasiment sans voiture!

La D35 que nous suivons compte elle un trafic assez important. Beaucoup de camions et comme ca monte on ne va pas spécialement vite. Ce n’est donc pas un passage hyper agréable. Heureusement peu après Blamont, on prend des routes plus petites et cela devient plus sympa!

Vers midi, on est tou près du Montechéroux, au mémorial à la résistance. On se réchauffe un risotto que l’on mange sous un timide soleil qui nous réchauffe.

Nous arrivons à Saint-Hyppolyte qui est absolument charmant! C’est visiblement le rendez-vous des motards et on peut comprendre pourquoi. La nous prenons la D437C qui va nous emmener gentillement vers les hauteurs.

Arrivée au charmant village de Saint-Hyppolite

Nous avons rapidement de très jolis points de vue sur les montagnes et en chemin vers Courtefontaine nous avons l’occasion d’observer de beaux rapaces qui volent à nos côtés.

Nous faisons une petite pause « chocolat » à Trévillers où il se met à pleuvoir des cordes. Nous nous mettons à l’abri sur la place mais devons bien nous résigner à repartir sous la pluie vu qu’elle n’a pas l’air de vouloir s’arrêter! Cela se calme assez rapidement et nous roulons à nouveau à sec. Nous avons décidé de quasiment chaque fois faire les variantes de la GTJ qui sont en général physiquement plus dures mais offrent des paysages à ne pas louper. Nous quittons donc la « voie normale » à Trévillers pour aller vers Goumois via sa corniche que nous ferons en partie cet après-midi et nous ferons la suite demain.

Après quelques kilomètres de montées, nous commençons à descendre vers Goumois. Heureusement mon capitaine apperçoit en dernière minute un point de vue et nous arrivons à arrêter notre semi-remorque à temps. La vue plongeante sur le Doubs est très belle même avec cette météo maussade. Nous nous arrêtons à une autre point de vue plus loin qui offre un point de vue sur Goumois.

Le pont de Goumois, nous sommes en France, de l’autre côté du Doubs, la Suisse

Au terme d’une folle descente, nous voici à Goumois (France donc) nous traversons le pont (et le Doubs) pour mettre nos pneus en Suisse! Nous revenons sur nos pas – si je puis dire – et nous dirigeons vers le camping qui se trouve à 1km environ du village. Le camping est sympa et nous installons notre tente avant de nous doucher et de retourner au village, cette fois à pieds pour y manger. La friture de carpes est toujours à l’honneur sur les cartes. Nous prenons l’apéro maison tous les deux et du jambon blanc/salade/frites. Arrosé d’un Arboy blanc pour moi et d’eau pour le capitaine! Nous mangeons courageusement en terrasse jusqu’à ce que quelques gouttes d’eau nous tombent sur le bout du nez. Heureusement nous avions terminé! Retour au camping sous une petite pluie, lecture distrayante des magasines disponibles à l’accueil et dodo!

58,69km * 2:42:42 * 21,64km/h * D+ 150m

Taratataaa, nous voici en vacances! Cette année, nous reprenons le train Vauban au départ de Bruxelles et en direction de Basel, mais pas dans l’idée de se ré-attaquer à la Forêt Noire, elle nous a laissé trop de séquelle, mais bien pour partir vers le sud et comparer les Juras français et suisse.

Départ le jeudi de l’ascension à 7h44 de la gare du midi. Train direct et ce coup-ci on descend à Mulhouse; le trajet va donc durer dans les 6 heures. Petite inquiétude lors de l’embarquement, on ne retrouve pas le wagon belge qu’on avait eu l’autre fois et qui avait un grand compartiment à vélo ce qui nous permettait de ranger le tandem sans problème. Notre réservation indique un wagon précis et nous nous retrouvons devant un emplacement pour un vélo solo. Heureusement, dans le wagon d’à côté, les portes sont HS, ce qui nous permet d’installer tout notre matériel.

Un peu de plat avant la « montagne »!

Voyage sans encombre et nous voila à Mulhouse sous le soleil près à commencer notre périple avec une soixantaine de kms quasiment plat en direction de Montbéliard! Pour rejoindre les 2 villes, très simple, nous suivrons l’Eurovélo 6 qui relie Budapest à Nantes. Nous suivons donc le canal à un bon rythme, il fait beau et agréable. On suspecte un vent de dos qui nous facilite la tache.

On arrive à Montbéliard vers 16h, ce qui nous permet de nous installer au sympathique hotel Bristol et de nous ballader en ville. Souper au restaurant, saucisse de Montbéliard avec cancoillote pour le capitaine, friture de carpe pour la stockeuse.

Vue plongeante sur Montbéliard

49,31 km – 2:34:54 – 19,10 km/h – 49,63 km/h max – D+ 799 m

Départ tardif après un long déjeuner. Puis petite pause chez Sabine où on arrive juste à temps pour un dîner improvisé…

Cette étape est un grand classique, tellement qu’on pourrait presque la faire les yeux fermés!

Voilà un retour à la maison tout en douceur.

80,97 km/h – 4:14:52 – 19,06 km/h – 55,16 km/h max – D+ 900 m

Nous quittons le camping après une petit déjeuner en face des tours de refroidissement.

Petit déjeuner nucléaire à Tihange…

On suit les bords de Meuse jusque Seilles, puis on trace en « ligne droite » à la carte.

Le long de la Meuse

La météo est avec nous en début de journée mais au fil du temps, les nuages arrivent et lorsque je vais acheter notre pic-nic, le ciel se couvre.

On dîne à côté d’une chapelle, sous un arbre qui nous protège des quelques gouttes qui tombent. Le ciel est très menaçant, mais heureusement, il ne s’ouvrira jamais entièrement.

Du côté d’Andenne, un petit bruit, puis un grand « crac » nous alerte : chaîne cassée ! On répare, et on repart…
Quelques kilomètres plus loin, rebelote… puis encore une troisième fois. A chaque fois, on doit retirer un maillon… Elle commence donc à être courte, ce qui ne favorise pas la résistance d’une chaîne à l’agonie. Il faut dire qu’on est parti sans huile…

Heureusement, on approche de Mazy et je connais un magasin où on pourra acheter une nouvelle chaîne. Une fois la chaîne remplacée, plus de soucis !

70,00 km/h – 3:52:12 – 18,08 km/h – 61,50 km/h max – D+ 975 m

Départ sous le soleil pour une grosse ascension avant de dégringoler sur Remouchamps où on rejoint le RV qui longe l’Amblève.

Chemins avec vue!

Le Ravel est super agréable, c’est vraiment très joli, nous sommes entourés d’eau et de fleurs de toutes sortes. On le quitte à Poulseur, après avoir mangé le long de l’eau et profité du soleil.

Les vallées se succèdent avant la descente vers Ombret et la route peu sympathique qui longe la centrale nucléaire de Tihange.

Passage bucolique sur le Ravel près de Poulseur

Nous campons au camping de Tihange, qui est un petit peu à l’écart, avec vue sur les tours de refroidissement. Le cadre n’est pas des plus buccoliques et nous décampons rapidement une fois la tente installée pour aller découvrir Huy.

A pieds, on est vite au centre de Huy et après avoir visité son centre historique, nous partons comme d’habitude à la recherche d’un moment de gastronomie. Nous tombons effectivement sur un restaurant gastronomique, mais optons finalement pour de la fine cuisine italienne chez pane & vino où nous passons une soirée mémorable.

75,45 km – 4:13:06 – 17,88 km/h – 61,50 km/h max – D+ 1050 m

Hier, pour une nouvelle journée « off », nous sommes allé à pied de Robertville à Malmédy par la ballade « crêtes et vallée » pour dîner en terrasse. On est rentré au soleil couchant par les chemins de crêtes. Magnifique.

Temps ensoleillé mais frais, voire froid avec le vent.

Nous quittons Robertville pour partir vers le nord, traverser les Hautes-Fagnes (splendides), rejoindre Eupen et allez découvrir une région où nous n’avons pas encore mis nos pneus, plus au nord de l’E40 et pousser jusqu’à Aubel avant de redescendre vers Theux. Autant rouler dans les Hautes-Fagnes et autour d’Eupen à toujours été une super expérience on ne peut pas en dire autant de cette région-là. On roule tout le temps avec le bruit de l’E40 en arrière plan, et les il manque aux routes un petit quelquechose qui fait que c’est gai d’y rouler…

Les hautes-fagnes dans toute leur splendeur

Après Aubel, nous redescendons vers Herve, via Thimister Clermont qui est un charmant village, à nouveau un des « plus beaux villages de Belgique ». La descente après Herve est assez décoiffante, nous passons en dessous de l’E40 à toute allure et rejoignons assez vite Pepinster via des paysages plus plaisants et de là notre destination, Theux qui à des allures de ville, avec un incroyable embouteillage à l’heure où nous arrivons.

Petit passage dans le joli village de Clermont

Le camping est légèrement à l’écart, mais à pieds, en passant pas de petites impasses on peut rapidement rejoindre le centre ville. Le choix du restaurant sera à nouveau assez limité, mais ce coup-ci on ne regrettera pas notre choix. Les plats sont savoureux et copieux!

Après quelques photos nocturnes de la ville, nous regagnons nos sacs de couchage.

65,87 km – 3:57:51 – 16,61 km/h – 61,50 km/h max – D+ 1303 m

Départ tardif (il est passé 10h !) sous le soleil. On fait des emplettes au Proxi d’Houffalize, avant de quitter la ville par une route sympathique mais bien pentue.

Nous quittons Houffalize en montant sous le soleil

Les paysages sont très beau, le soleil éclairant le tout d’une belle lumière. On roule sur des petites routes de campagne où il y a peu de trafic et qui sont très roulantes.

On pique-nique passé Gouvy, entre soleil et nuage. On passe assez vite en province de Liège… et dans les cantons germanophones. Nous passons par Sankt Vith où nous empruntons un Ravel qui nous amènera de manière très directe à Borr. Là, nous rejoignons le RV8 et le suivons jusqu’à Waimes.

Chemins exquis et très roulants

Nous dormirons finalement à un camping que nous connaissons (et apprécions) à Robertville. Nous comptions sur un resto que nous connaissons à Robertville. Mais hors saison et hors WE, nous tombons sur une porte close. Ce qui sera le cas de tous les restos qui sont raisonnablement accessible à pied. On fini donc au camping en mangeant une pizza, seuls dans la buvette spécialement ouverte pour nous…

97,25 km/h – 5:22:48 – 18,07 km/h – 65,04 km/h max – D+ 1488

Départ de Tintigny sous la pluie, qui s’intensifie et se double d’un orage ! Assez vite, on est trempé. On se met à l’abri d’un pont de l’E411 ; on en profite pour manger un bout. Je peux déjà tordre mes chaussettes. Nous sommes mouillés jusqu’aux os et la sensation de l’air est assez froide, l’arrêt ne sera donc pas long. Nous n’avons pas le choix il faut sortir de notre tanière et nous remettre en route. Et tant qu’à faire autant bien pédaler, ca tient chaud.

Après la pluie, le beau temps?

La pluie s’arrête en début d’après-midi et le soleil perce timidement pour éclairer les beaux paysages que nous traversons.

Nous arrivons à Tenneville, point de chute prévu initialement, vers 14h. Nous décidons donc de pousser jusqu’à Houffalize, où nous nous installons au camping, entre la route et la rivière. Nous nous installons au camping sous le soleil ce qui fait du bien autant au corps qu’au moral!

Le soir, nous mangeons en ville dans une pizzeria qui ne restera pas gravée dans nos mémoires si ce n’est pour l’esclandre qu’il y a failli avoir quand le patron n’a pas voulu servir l’équipe de foot locale prétextant qu’il était trop tard…

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